Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'architecture, selon la définition courante, existe avant tout pour être au service du corps. La question est de savoir comment se mettre complètement...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 5 octobre et le 15 octobre
En librairie
Résumé
L'architecture, selon la définition courante, existe avant tout pour être au service du corps. La question est de savoir comment se mettre complètement au service du corps. Qui ne souhaiterait vivre dans un monde construit pour servir le corps au maximum? Mais la question est aussi de savoir ce qu'est le corps. Etre au maximum au service du corps va inclure tout ce dont a besoin le corps et même plus. Le corps a pour mandat de repousser sa propre disparition et une architecture qui serait généreuse envers le corps, qui lui prodiguerait en abondance tout ce dont il semblerait avoir besoin, doit juger de son devoir de remplir ce mandat. Après tant d'hésitations quant au titre de ce livre, avons-nous finalement trouvé le bon? Si seulement les lecteurs pouvaient aborder cet ouvrage avec quelque idée sur le corps architectural - quel était le dernier titre que nous avions retenu? Construire la vie - Nous n'avons pas cru bon de le garder parce que notre travail est plus orienté sur la reconfiguration de la vie que sur sa construction à proprement parler. Ce titre nous plaisait parce qu'il mettait en évidence le lien entre notre travail et les recherches menées dans le domaine de l'auto-organisation, l'autopoiesis, la vie artificielle et les études sur la conscience. Nous allons dans le même sens. nous sommes sur le même tracé. Et pourtant notre démarche est différente. Convient-il de préciser en quoi? Pas cette fois-ci. Une fois que l'on aura compris que la race humaine n'a pas encore su tirer profit de son meilleur outil pour apprendre comment ne pas mourir... Nous sommes l'espèce qui inventera la vie libérée de la mort.