Docteur d'Etat en art et archéologie, Gérard Monnier est un historien de l'architecture vingtièmiste.
Le Corbusier et le Japon
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages173
- PrésentationBroché
- Poids0.51 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-7084-0720-6
- EAN9782708407206
- Date de parution26/01/2007
- CollectionArchitectures contemporaines
- ÉditeurPicard
- PréfacierJean-Marie Bouissou
Résumé
Aucun autre pays que le Japon n'a fait une telle place à Le Corbusier, à ses disciples et aux architectes qu'il a longtemps inspirés. Nulle part ailleurs, ses écrits n'ont été si rapidement traduits, publiés et commentés. Ce sont les jeunes architectes japonais, attirés par le prestige des textes de Le Corbusier, qui ont donné le départ d'un formidable intérêt pour l'agence de la rue de Sèvres ; cet intérêt pour l'architecte était d'ailleurs sélectif, il laissait de côté aussi bien l'urbanisme que l'œuvre plastique du dessinateur ou du peintre, et combinait plusieurs images successives de Le Corbusier, qui était d'abord, dans les années 1920 et 1930, un " jeune héros ", puis, après 1945, un " maître " du modernisme, et enfin, l'architecte de référence d'une nouvelle approche de l'espace qu'au Japon, en raison des conditions d'une intense démarche de modernisation, on expérimente avec passion.
Jusqu'à présent cependant cette relation de Le Corbusier avec le Japon n'avait pas fait l'objet d'une étude. A côté des grandes sagas, celle de Le Corbusier en Amérique latine, celle de Le Corbusier en URSS, la relation de Le Corbusier avec le Japon était demeurée une page blanche, qui attendait son approche, son écriture, ses interprétations. C'est ce qu'apportent les travaux du colloque réuni à Tokyo en 1997, que nous présentons ici aux lecteurs de langue française.
Jusqu'à présent cependant cette relation de Le Corbusier avec le Japon n'avait pas fait l'objet d'une étude. A côté des grandes sagas, celle de Le Corbusier en Amérique latine, celle de Le Corbusier en URSS, la relation de Le Corbusier avec le Japon était demeurée une page blanche, qui attendait son approche, son écriture, ses interprétations. C'est ce qu'apportent les travaux du colloque réuni à Tokyo en 1997, que nous présentons ici aux lecteurs de langue française.
Aucun autre pays que le Japon n'a fait une telle place à Le Corbusier, à ses disciples et aux architectes qu'il a longtemps inspirés. Nulle part ailleurs, ses écrits n'ont été si rapidement traduits, publiés et commentés. Ce sont les jeunes architectes japonais, attirés par le prestige des textes de Le Corbusier, qui ont donné le départ d'un formidable intérêt pour l'agence de la rue de Sèvres ; cet intérêt pour l'architecte était d'ailleurs sélectif, il laissait de côté aussi bien l'urbanisme que l'œuvre plastique du dessinateur ou du peintre, et combinait plusieurs images successives de Le Corbusier, qui était d'abord, dans les années 1920 et 1930, un " jeune héros ", puis, après 1945, un " maître " du modernisme, et enfin, l'architecte de référence d'une nouvelle approche de l'espace qu'au Japon, en raison des conditions d'une intense démarche de modernisation, on expérimente avec passion.
Jusqu'à présent cependant cette relation de Le Corbusier avec le Japon n'avait pas fait l'objet d'une étude. A côté des grandes sagas, celle de Le Corbusier en Amérique latine, celle de Le Corbusier en URSS, la relation de Le Corbusier avec le Japon était demeurée une page blanche, qui attendait son approche, son écriture, ses interprétations. C'est ce qu'apportent les travaux du colloque réuni à Tokyo en 1997, que nous présentons ici aux lecteurs de langue française.
Jusqu'à présent cependant cette relation de Le Corbusier avec le Japon n'avait pas fait l'objet d'une étude. A côté des grandes sagas, celle de Le Corbusier en Amérique latine, celle de Le Corbusier en URSS, la relation de Le Corbusier avec le Japon était demeurée une page blanche, qui attendait son approche, son écriture, ses interprétations. C'est ce qu'apportent les travaux du colloque réuni à Tokyo en 1997, que nous présentons ici aux lecteurs de langue française.