Ils étaient comme des frères, pleins de projets et de rêves à leur départ du Soudan, et tout le long de la périlleuse Route des fourmis jusqu'à la Jungle de Calais. Puis ils se sont séparés. Mais lorsque Nour retrouve Adam, devant une gare en Autriche, il n'est plus qu'une âme égarée, les yeux noyés de crack. Adam ne le reconnaît pas et disparaît. Nour se lance alors dans une quête, celle d'un homme qui a perdu son double.
A travers ceux qui l'ont croisé, aidé, aimé, il raconte qui était Adam, l'homme qui parlait aux corbeaux et qui rêvait d'Angleterre, quitte à traverser la Manche en montgolfière. Immersif, sensible et engagé, Le corbeau qui m'aimait rend hommage à tous ceux dont les rêves furent trop grands et trop beaux face à la dureté du réel. Adulé dans le monde arabe, censuré dans son pays, Abdelaziz Baraka Sakin est né en 1963 au Soudan et vit en exil entre la France et l'Autriche.
Après Le Messie du Darfour, Les Jango et La Princesse de Zanzibar, il construit une oeuvre somptueusement humaniste.
Ils étaient comme des frères, pleins de projets et de rêves à leur départ du Soudan, et tout le long de la périlleuse Route des fourmis jusqu'à la Jungle de Calais. Puis ils se sont séparés. Mais lorsque Nour retrouve Adam, devant une gare en Autriche, il n'est plus qu'une âme égarée, les yeux noyés de crack. Adam ne le reconnaît pas et disparaît. Nour se lance alors dans une quête, celle d'un homme qui a perdu son double.
A travers ceux qui l'ont croisé, aidé, aimé, il raconte qui était Adam, l'homme qui parlait aux corbeaux et qui rêvait d'Angleterre, quitte à traverser la Manche en montgolfière. Immersif, sensible et engagé, Le corbeau qui m'aimait rend hommage à tous ceux dont les rêves furent trop grands et trop beaux face à la dureté du réel. Adulé dans le monde arabe, censuré dans son pays, Abdelaziz Baraka Sakin est né en 1963 au Soudan et vit en exil entre la France et l'Autriche.
Après Le Messie du Darfour, Les Jango et La Princesse de Zanzibar, il construit une oeuvre somptueusement humaniste.