Dans ses scènes dramatiques, écrites de 1825 à 1835 et ici rassemblées par ordre chronologique - Scène du Faust, le Chevalier avare, Mozart et Salieri, le Convive de pierre, le Festin pendant la peste (ces quatre portent le nom de Petites tragédies), la Sirène et Une scène de chevalerie -, Pouchkine a pour projet d'étudier "le destin de l'homme", ses passions, ses doutes, ses interrogations. Qu'il s'agisse de l'avarice du baron chevalier, de la jalousie de Salieri pour Mozart, de la passion amoureuse qui anime don Juan, de peur devant la mort, de vengeance, de fraternité ou d'ennui, Pouchkine saisit dans leur quintessence chacune de ces passions en les exprimant sur le mode dramatique.
-Et dès lors, comme le dit André Markowicz, "ces scènes dramatiques visent à explorer la matière théâtrale dans sa concentration la plus extrême (...) : poser, développer et résoudre un conflit en dix, vingt pages au maximum".
Dans ses scènes dramatiques, écrites de 1825 à 1835 et ici rassemblées par ordre chronologique - Scène du Faust, le Chevalier avare, Mozart et Salieri, le Convive de pierre, le Festin pendant la peste (ces quatre portent le nom de Petites tragédies), la Sirène et Une scène de chevalerie -, Pouchkine a pour projet d'étudier "le destin de l'homme", ses passions, ses doutes, ses interrogations. Qu'il s'agisse de l'avarice du baron chevalier, de la jalousie de Salieri pour Mozart, de la passion amoureuse qui anime don Juan, de peur devant la mort, de vengeance, de fraternité ou d'ennui, Pouchkine saisit dans leur quintessence chacune de ces passions en les exprimant sur le mode dramatique.
-Et dès lors, comme le dit André Markowicz, "ces scènes dramatiques visent à explorer la matière théâtrale dans sa concentration la plus extrême (...) : poser, développer et résoudre un conflit en dix, vingt pages au maximum".