Le concepte de globalité en osteopathie

Par : Marie Eckert

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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions19,0 cm × 26,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-8041-7159-9
  • EAN9782804171599
  • Date de parution21/01/2013
  • CollectionOstéopathie
  • ÉditeurDe Boeck
  • PréfacierFrançois Bel

Résumé

L'interrelation structure/fonction, la capacité d'autorégulation du corps et la globalité sont trois grands principes qui fondent la réflexion et la pratique ostéopathique. Ils participent à la définition de cette thérapeutique et orientent l'assimilation et l'utilisation des connaissances anatomiques, physiologiques ou biomécaniques par le praticien. Parmi eux, le concept de globalité, en raison de son apparente simplicité, est le plus mal défini.
Ses acceptions vont d'une simple vision de l'interdépendance des parties du corps à une appréhension par le praticien d'un patient, partie de l'univers, et constitué d'un corps et d'un psychisme qui s'interinfluencent. Autant de définitions différentes qui trahissent le flou de ce concept et donc des pratiques qui s'en réclament. Au travers d'une étude des textes de Still, Littlejohn et Sutherland, et de rencontres avec des ostéopathes d'aujourd'hui, le concept de globalité est mis en question par l'auteur pour qu'apparaisse un véritable sens.
Celui-ci se révèle riche et complexe, éclairant la pratique ostéopathique, son développement et la multiplicité actuelle de ses formes d'application.
L'interrelation structure/fonction, la capacité d'autorégulation du corps et la globalité sont trois grands principes qui fondent la réflexion et la pratique ostéopathique. Ils participent à la définition de cette thérapeutique et orientent l'assimilation et l'utilisation des connaissances anatomiques, physiologiques ou biomécaniques par le praticien. Parmi eux, le concept de globalité, en raison de son apparente simplicité, est le plus mal défini.
Ses acceptions vont d'une simple vision de l'interdépendance des parties du corps à une appréhension par le praticien d'un patient, partie de l'univers, et constitué d'un corps et d'un psychisme qui s'interinfluencent. Autant de définitions différentes qui trahissent le flou de ce concept et donc des pratiques qui s'en réclament. Au travers d'une étude des textes de Still, Littlejohn et Sutherland, et de rencontres avec des ostéopathes d'aujourd'hui, le concept de globalité est mis en question par l'auteur pour qu'apparaisse un véritable sens.
Celui-ci se révèle riche et complexe, éclairant la pratique ostéopathique, son développement et la multiplicité actuelle de ses formes d'application.