Le concept de désir dans l'oeuvre de Thomas d'Aquin. Analyse lexicographique et conceptuelle du mot desiderium
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- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7116-2306-8
- EAN9782711623068
- Date de parution26/04/2011
- CollectionEtudes de philosophie médiéval
- ÉditeurVrin
- PréfacierMarta Cristiani
Résumé
De nombreuses recherches et discussions tout au long de la tradition philosophique, et particulièrement dans l'oeuvre de Thomas d'Aquin, ont pris pour thème le "désir naturel" de voir Dieu. Mais ce concept a souvent été utilisé sans en comprendre pleinement le sens dans l'oeuvre de l'Aquinate. A l'aide de la méthode lexicographique appliquée au lemme "desiderium", la présente recherche s'attache à éclairer la notion de "désir" telle qu'elle a été exprimée dans les textes de Thomas.
Elle donne à comprendre le relief métaphysique qu'un tel concept y acquiert et à découvrir qu'il assume une signification très large. Du point de vue théorétique, le désir exprime le mouvement ontologique d'un être vers sa perfection et son bien : voici donc les passions humaines qui expriment les tendances qui conduisent l'homme au-delà de lui-même, vers ce qu'il retient approprié pour lui, comme le montre le parallélisme entre le mouvement du désir et l'activité de l'intellect.
Du point de vue de l'historiographie philosophique, il semble qu'on puisse retrouver dans la théorie du désir la synthèse des deux grands systèmes de la tradition philosophique, l'aristotélisme et le néoplatonisme, réinterprétés à la lumière de la foi chrétienne.
Elle donne à comprendre le relief métaphysique qu'un tel concept y acquiert et à découvrir qu'il assume une signification très large. Du point de vue théorétique, le désir exprime le mouvement ontologique d'un être vers sa perfection et son bien : voici donc les passions humaines qui expriment les tendances qui conduisent l'homme au-delà de lui-même, vers ce qu'il retient approprié pour lui, comme le montre le parallélisme entre le mouvement du désir et l'activité de l'intellect.
Du point de vue de l'historiographie philosophique, il semble qu'on puisse retrouver dans la théorie du désir la synthèse des deux grands systèmes de la tradition philosophique, l'aristotélisme et le néoplatonisme, réinterprétés à la lumière de la foi chrétienne.
De nombreuses recherches et discussions tout au long de la tradition philosophique, et particulièrement dans l'oeuvre de Thomas d'Aquin, ont pris pour thème le "désir naturel" de voir Dieu. Mais ce concept a souvent été utilisé sans en comprendre pleinement le sens dans l'oeuvre de l'Aquinate. A l'aide de la méthode lexicographique appliquée au lemme "desiderium", la présente recherche s'attache à éclairer la notion de "désir" telle qu'elle a été exprimée dans les textes de Thomas.
Elle donne à comprendre le relief métaphysique qu'un tel concept y acquiert et à découvrir qu'il assume une signification très large. Du point de vue théorétique, le désir exprime le mouvement ontologique d'un être vers sa perfection et son bien : voici donc les passions humaines qui expriment les tendances qui conduisent l'homme au-delà de lui-même, vers ce qu'il retient approprié pour lui, comme le montre le parallélisme entre le mouvement du désir et l'activité de l'intellect.
Du point de vue de l'historiographie philosophique, il semble qu'on puisse retrouver dans la théorie du désir la synthèse des deux grands systèmes de la tradition philosophique, l'aristotélisme et le néoplatonisme, réinterprétés à la lumière de la foi chrétienne.
Elle donne à comprendre le relief métaphysique qu'un tel concept y acquiert et à découvrir qu'il assume une signification très large. Du point de vue théorétique, le désir exprime le mouvement ontologique d'un être vers sa perfection et son bien : voici donc les passions humaines qui expriment les tendances qui conduisent l'homme au-delà de lui-même, vers ce qu'il retient approprié pour lui, comme le montre le parallélisme entre le mouvement du désir et l'activité de l'intellect.
Du point de vue de l'historiographie philosophique, il semble qu'on puisse retrouver dans la théorie du désir la synthèse des deux grands systèmes de la tradition philosophique, l'aristotélisme et le néoplatonisme, réinterprétés à la lumière de la foi chrétienne.