Margot Giacinti est doctorante en science politique à l'ENS de Lyon.
Le commun des mortelles. Faire face au féminicide
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- Nombre de pages206
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.21 kg
- Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
- ISBN979-10-97088-79-8
- EAN9791097088798
- Date de parution21/02/2025
- ÉditeurDivergences (Editions)
Résumé
Les meurtres de femmes parce qu'elles sont des femmes, autrement dit les féminicides, ont une histoire trop longue. Plusieurs générations de féministes, depuis la fin du XIXe siècle, ont dénoncé à leur façon le caractère genré de ces phénomènes. C'est d'abord à elles que cet ouvrage rend hommage en retraçant leurs combats et leur pensée. C'est ensuite à l'expérience des victimes qu'il s'intéresse.
Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d'agir contre leurs agresseurs. L'examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd'hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d'un fait social tristement structurel.
Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d'agir contre leurs agresseurs. L'examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd'hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d'un fait social tristement structurel.
Les meurtres de femmes parce qu'elles sont des femmes, autrement dit les féminicides, ont une histoire trop longue. Plusieurs générations de féministes, depuis la fin du XIXe siècle, ont dénoncé à leur façon le caractère genré de ces phénomènes. C'est d'abord à elles que cet ouvrage rend hommage en retraçant leurs combats et leur pensée. C'est ensuite à l'expérience des victimes qu'il s'intéresse.
Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d'agir contre leurs agresseurs. L'examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd'hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d'un fait social tristement structurel.
Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d'agir contre leurs agresseurs. L'examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd'hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d'un fait social tristement structurel.