Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Selon Descartes, la pensée augustinienne du cogito se résumait à une inférence qui " aurait pu tomber sous la plume de qui que ce soit " et qui servait...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Selon Descartes, la pensée augustinienne du cogito se résumait à une inférence qui " aurait pu tomber sous la plume de qui que ce soit " et qui servait de point de départ à des spéculations purement théologiques. Husserl quant à lui estimait que " l'indubitabilité de l'ego cogito ", qu'Augustin avait le premier découverte, ne jouait en fait chez lui que le rôle d'un simple argument dirigé contre les Sceptiques. Ces interprétations, fondées sur le texte de la Cité de Dieu où apparaît le célèbre " Si enim fallor, sum ", peuvent-elles s'appliquer à l'analyse beaucoup plus approfondie qu'Augustin développe dans le livre X de la Trinité ? Le but de cet ouvrage est de dégager l'enjeu philosophique de la pensée augustinienne du cogito en obéissant à un double souci : situer la réflexion d'Augustin dans le champ de la philosophie antique et procéder à des rapprochements précis avec les perspectives ouvertes après lui par Descartes et par Husserl.
Emmanuel Bermon, ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure (Ulm) et agrégé de philosophe est maître de conférences à l'Université Michel de Montaigne-Bordeaux III, où il enseigne l'histoire de la philosophie antique.