Le cinéma des formes furtives. Résister en images au regard surveillant
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- Nombre de pages386
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.48 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-88-6976-436-3
- EAN9788869764363
- Date de parution15/10/2024
- CollectionFormes filmiques
- ÉditeurMimesis
Résumé
La surveillance ne cesse de générer de nouvelles images. Des portraits d'identité à la reconnaissance faciale, de la vidéosurveillance à la lecture des empreintes digitales, les modalités du regard surveillant sont nombreuses et en renouvellement permanent. Parce qu'il se fonde lui aussi sur la prise de vues, le cinéma peut faire l'objet d'un soupçon : ne contribue-t-il pas, en capturant des images, à prolonger le contrôle visuel ? Ce livre retrace un siècle de cinéma à la lumière de cette question.
Pour y répondre, chaque chapitre détaille une double fascination, au sein des oeuvres, pour les dispositifs de surveillance et pour le spectacle de leur détournement. Cette cartographie des "formes furtives" suggère ainsi que la question politique des limites de la prise de vues implique une investigation esthétique. Rémi Lauvin est chercheur associé à l'Université de Paris et auteur d'une thèse intitulée "La contrefaçon de soi.
Le cinéma à l'épreuve de la surveillance" . Lauréat de la bourse post-doctorale Balzan à l'Université Sorbonne-Nouvelle en 2022-2023, il a contribué aux revues Intermédialités, Sociétés et Représentations, InMedia et Débordements. Sa recherche porte sur les reprises et les détournements des gestes et techniques de surveillance au cinéma.
Pour y répondre, chaque chapitre détaille une double fascination, au sein des oeuvres, pour les dispositifs de surveillance et pour le spectacle de leur détournement. Cette cartographie des "formes furtives" suggère ainsi que la question politique des limites de la prise de vues implique une investigation esthétique. Rémi Lauvin est chercheur associé à l'Université de Paris et auteur d'une thèse intitulée "La contrefaçon de soi.
Le cinéma à l'épreuve de la surveillance" . Lauréat de la bourse post-doctorale Balzan à l'Université Sorbonne-Nouvelle en 2022-2023, il a contribué aux revues Intermédialités, Sociétés et Représentations, InMedia et Débordements. Sa recherche porte sur les reprises et les détournements des gestes et techniques de surveillance au cinéma.
La surveillance ne cesse de générer de nouvelles images. Des portraits d'identité à la reconnaissance faciale, de la vidéosurveillance à la lecture des empreintes digitales, les modalités du regard surveillant sont nombreuses et en renouvellement permanent. Parce qu'il se fonde lui aussi sur la prise de vues, le cinéma peut faire l'objet d'un soupçon : ne contribue-t-il pas, en capturant des images, à prolonger le contrôle visuel ? Ce livre retrace un siècle de cinéma à la lumière de cette question.
Pour y répondre, chaque chapitre détaille une double fascination, au sein des oeuvres, pour les dispositifs de surveillance et pour le spectacle de leur détournement. Cette cartographie des "formes furtives" suggère ainsi que la question politique des limites de la prise de vues implique une investigation esthétique. Rémi Lauvin est chercheur associé à l'Université de Paris et auteur d'une thèse intitulée "La contrefaçon de soi.
Le cinéma à l'épreuve de la surveillance" . Lauréat de la bourse post-doctorale Balzan à l'Université Sorbonne-Nouvelle en 2022-2023, il a contribué aux revues Intermédialités, Sociétés et Représentations, InMedia et Débordements. Sa recherche porte sur les reprises et les détournements des gestes et techniques de surveillance au cinéma.
Pour y répondre, chaque chapitre détaille une double fascination, au sein des oeuvres, pour les dispositifs de surveillance et pour le spectacle de leur détournement. Cette cartographie des "formes furtives" suggère ainsi que la question politique des limites de la prise de vues implique une investigation esthétique. Rémi Lauvin est chercheur associé à l'Université de Paris et auteur d'une thèse intitulée "La contrefaçon de soi.
Le cinéma à l'épreuve de la surveillance" . Lauréat de la bourse post-doctorale Balzan à l'Université Sorbonne-Nouvelle en 2022-2023, il a contribué aux revues Intermédialités, Sociétés et Représentations, InMedia et Débordements. Sa recherche porte sur les reprises et les détournements des gestes et techniques de surveillance au cinéma.