Lauréat du Lion d'or (Vive l'amour, 1994) et du Grand prix du jury (Les chiens errants, 2013) à Venise, du Grand prix du jury à Berlin (La Rivière, 1997), trois fois en compétition pour la Palme d'or à Cannes (Le Trou, 1998 , Et là-bas, quelle heure est-il, 2001 , Visage, 2009), Tsai Mingliang compte parmi les réalisateurs les plus célébrés de notre temps. Basée sur un schéma d'analyse innovant, cette étude éclaire les mécanismes de son langage cinématographique.
La première partie (Le rêve) examine la manière dont ses films, en adoptant une logique comparable à celle des rêves, nous font entrer dans les méandres de la psyché des personnages. La deuxième (Le réel) montre comment une observation attentive du réel et de la façon dont les corps s'y inscrivent permet au cinéaste de relever les indices des tensions qui travaillent ses créatures. La troisième (L'humain) expose la vision, philosophique et humaniste, que le cinéma de Tsai offre de l'Homme.
Lauréat du Lion d'or (Vive l'amour, 1994) et du Grand prix du jury (Les chiens errants, 2013) à Venise, du Grand prix du jury à Berlin (La Rivière, 1997), trois fois en compétition pour la Palme d'or à Cannes (Le Trou, 1998 , Et là-bas, quelle heure est-il, 2001 , Visage, 2009), Tsai Mingliang compte parmi les réalisateurs les plus célébrés de notre temps. Basée sur un schéma d'analyse innovant, cette étude éclaire les mécanismes de son langage cinématographique.
La première partie (Le rêve) examine la manière dont ses films, en adoptant une logique comparable à celle des rêves, nous font entrer dans les méandres de la psyché des personnages. La deuxième (Le réel) montre comment une observation attentive du réel et de la façon dont les corps s'y inscrivent permet au cinéaste de relever les indices des tensions qui travaillent ses créatures. La troisième (L'humain) expose la vision, philosophique et humaniste, que le cinéma de Tsai offre de l'Homme.