Que doit’on penser quand on est devant des chefs d’œuvre de la peinture, que peut être qu’il s’agit de copies et même de faux ?
Le Christ jaune va nous entraînait sur les pas d’un directeur d’une galerie d’art à Saint Tropez. Un jour, il est sollicité par un drôle de commanditaire qui va lui demander de rechercher que son père avait perdu pendant la deuxième guerre mondiale. Certains tableaux avaient été spoliés par les nazis et à la libération une commission avait été mise en place pour récupérer et essayer de restituer les tableaux spoliés.
Nous allons être
entraînés à travers le monde à la recherche de ses tableaux, qui de plus, seraient de véritables chefs d’œuvre. Mais à chaque fois, qu’il trouve un tableau, un meurtre est alors perpétué. Mais qui est cette étrange commanditaire, qui se transforme en serial killer, est il seul ou sont ils plusieurs.
D’une écriture fluide, on suit le personnage principal et ses recherches. Nous voyageons en France, à New York, à Vienne et à travers les métiers du milieu des arts : On découvre le métier de galeristes, de conservateurs de musées, de restaurateurs de tableaux, de critiques et de journalistes d’art.
Ce roman aborde aussi un pan de l’histoire de l’art, en particulier, les œuvres qui avaient été spoliés par les nazis puis récupérés à la libération. C’est étrange car il y a quelques mois, les musées d’Aquitaine ont exposés les tableaux qu’ils avaient dans les réserves et qu’ils avaient récupérés à la libération et dont on recherche toujours les possesseurs.
Un roman policier plaisant avec des descriptions plaisantes de paysages et d’œuvres d’art, mais il ne faut pas non plus croire que tout peut être faux ou camouflés. Espérons que lorsque nous allons dans les grands musées du monde entier on est devant de vrais tableaux.
Je ne raconterai pas la fin mais une sacrée entourloupe pour sauver l’honneur de chacun.
vrais faux tableaux et assassinats en série
Que doit’on penser quand on est devant des chefs d’œuvre de la peinture, que peut être qu’il s’agit de copies et même de faux ?
Le Christ jaune va nous entraînait sur les pas d’un directeur d’une galerie d’art à Saint Tropez. Un jour, il est sollicité par un drôle de commanditaire qui va lui demander de rechercher que son père avait perdu pendant la deuxième guerre mondiale. Certains tableaux avaient été spoliés par les nazis et à la libération une commission avait été mise en place pour récupérer et essayer de restituer les tableaux spoliés.
Nous allons être entraînés à travers le monde à la recherche de ses tableaux, qui de plus, seraient de véritables chefs d’œuvre. Mais à chaque fois, qu’il trouve un tableau, un meurtre est alors perpétué. Mais qui est cette étrange commanditaire, qui se transforme en serial killer, est il seul ou sont ils plusieurs.
D’une écriture fluide, on suit le personnage principal et ses recherches. Nous voyageons en France, à New York, à Vienne et à travers les métiers du milieu des arts : On découvre le métier de galeristes, de conservateurs de musées, de restaurateurs de tableaux, de critiques et de journalistes d’art.
Ce roman aborde aussi un pan de l’histoire de l’art, en particulier, les œuvres qui avaient été spoliés par les nazis puis récupérés à la libération. C’est étrange car il y a quelques mois, les musées d’Aquitaine ont exposés les tableaux qu’ils avaient dans les réserves et qu’ils avaient récupérés à la libération et dont on recherche toujours les possesseurs.
Un roman policier plaisant avec des descriptions plaisantes de paysages et d’œuvres d’art, mais il ne faut pas non plus croire que tout peut être faux ou camouflés. Espérons que lorsque nous allons dans les grands musées du monde entier on est devant de vrais tableaux.
Je ne raconterai pas la fin mais une sacrée entourloupe pour sauver l’honneur de chacun.