Prix Montaigne de Bordeaux
Le choix de Pascal
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 3 décembreCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 5 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 3 décembre
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages330
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.23 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-08-121737-9
- EAN9782081217379
- Date de parution10/09/2008
- CollectionChamps Essais
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Nous sommes à la fin d'un cycle de l'idée socialiste. La gauche tout entière demande à être refondée. C'est la nécessité de cette refondation que Jacques Julliard affirme dans ce livre, à travers un dialogue avec Benoît Chantre sur Blaise Pascal, sur la distinction des ordres, sur les impasses du rousseauisme et la nécessité de considérer le mal radical comme une composante essentielle de l'action politique. Cette discussion passionnée est pour lui l'occasion de revenir sur ses engagements (la guerre d'Algérie, la CFDT, la Bosnie), sur son œuvre d'historien du syndicalisme révolutionnaire et sur ses convictions religieuses. Autobiographie intellectuelle et livre d'intervention, ce dialogue sur l'origine toujours vive du socialisme français arrive à point nommé. Se référer à Pascal contre Rousseau, c'est rappeler, face à tous ceux qui voudraient éliminer le christianisme de notre mémoire, qu'on ne saurait construire l'avenir sans assumer le passé.
Nous sommes à la fin d'un cycle de l'idée socialiste. La gauche tout entière demande à être refondée. C'est la nécessité de cette refondation que Jacques Julliard affirme dans ce livre, à travers un dialogue avec Benoît Chantre sur Blaise Pascal, sur la distinction des ordres, sur les impasses du rousseauisme et la nécessité de considérer le mal radical comme une composante essentielle de l'action politique. Cette discussion passionnée est pour lui l'occasion de revenir sur ses engagements (la guerre d'Algérie, la CFDT, la Bosnie), sur son œuvre d'historien du syndicalisme révolutionnaire et sur ses convictions religieuses. Autobiographie intellectuelle et livre d'intervention, ce dialogue sur l'origine toujours vive du socialisme français arrive à point nommé. Se référer à Pascal contre Rousseau, c'est rappeler, face à tous ceux qui voudraient éliminer le christianisme de notre mémoire, qu'on ne saurait construire l'avenir sans assumer le passé.
















