Le chien. Histoire d'un objet de compagnie

Par : Victoria Vanneau
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,2 cm × 20,4 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-7467-3275-9
  • EAN9782746732759
  • Date de parution05/02/2014
  • CollectionLeçons de choses
  • ÉditeurAutrement (Editions)

Résumé

Meilleur ami de l'homme, machine à aimer, bébé de la famille dont on se dispute le droit de garde ou de visite : de qui parle-t-on ? Du chien bien sûr ! Pourtant, dans le droit français, il n'a d'autre statut que celui d'une chose. Depuis le Code civil de 1804, le canis familiaris est un bien mobilier, au même titre qu'une table. Voici le récit tumultueux de la place et du rôle donnés à cette boule de poils préférée des Français.
Les philosophes de l'Antiquité ont ouvert la question de l'âme des animaux ; ceux du XVIIe siècle tel Descartes ont rangé le chien du côté des machines ; au XIXe, les juristes, en le classant comme une chose, ont ouvert une vaste querelle, dont l'enjeu est aujourd'hui la reconnaissance d'une "personne animale". Du chien de Montargis, Verbaux, qui a triomphé en combat singulier de l'assassin de son maître au XIVe siècle, à Laïka qui voyagea dans l'espace en 1957, découvrons la singulière histoire d'un objet de compagnie.
Meilleur ami de l'homme, machine à aimer, bébé de la famille dont on se dispute le droit de garde ou de visite : de qui parle-t-on ? Du chien bien sûr ! Pourtant, dans le droit français, il n'a d'autre statut que celui d'une chose. Depuis le Code civil de 1804, le canis familiaris est un bien mobilier, au même titre qu'une table. Voici le récit tumultueux de la place et du rôle donnés à cette boule de poils préférée des Français.
Les philosophes de l'Antiquité ont ouvert la question de l'âme des animaux ; ceux du XVIIe siècle tel Descartes ont rangé le chien du côté des machines ; au XIXe, les juristes, en le classant comme une chose, ont ouvert une vaste querelle, dont l'enjeu est aujourd'hui la reconnaissance d'une "personne animale". Du chien de Montargis, Verbaux, qui a triomphé en combat singulier de l'assassin de son maître au XIVe siècle, à Laïka qui voyagea dans l'espace en 1957, découvrons la singulière histoire d'un objet de compagnie.