Le chemin du sacrifice
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- Nombre de pages239
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.295 kg
- Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-918619-18-5
- EAN9782918619185
- Date de parution13/03/2014
- ÉditeurLa Dernière Goutte
- TraducteurMartine Rémon
- PréfacierNicolas Beaupré
- IllustrateurVincent Vanoli
Résumé
Ecrit alors que la bataille de Verdun fait rage et censuré jusqu'à la fin de 1918, Le chemin du sacrifice est, au même titre qu'Orages d'acier d'Ernst Jünger, dont il est le précurseur pacifiste, une oeuvre majeure de l'histoire de la littérature. Ancien officier de carrière, Fritz von Unruh se réengage dans l'armée en 1914. Il est encore auréolé du prix Kleist qu'il vient de recevoir et l'état-major lui confie la mission de faire la chronique de la bataille de Verdun qui se prépare.
Mais au lieu de rédiger une oeuvre à la gloire de l'héroïsme des soldats allemands, Unruh dénonce l'absurdité d'une guerre qui fait sombrer les hommes dans la folie. Implacable réquisitoire, aussi puissant que poignant, ce roman retrace le destin d'une compagnie dont les hommes vont être confrontés à la terreur de l'assaut. Que peuvent la fraternité et les rêves de paix face au déchaînement du métal en furie et à l'imminence de la tragédie ? Issu d'une famille de la noblesse prussienne, Fritz von Unruh (1885-1970) se consacre à l'écriture après avoir mis fin à sa carrière militaire.
Antinazi de la première heure, il choisit l'exil en France, puis aux Etats-Unis. Il ne retourne en Allemagne qu'en 1948 et y reçoit le prestigieux prix Goethe.
Mais au lieu de rédiger une oeuvre à la gloire de l'héroïsme des soldats allemands, Unruh dénonce l'absurdité d'une guerre qui fait sombrer les hommes dans la folie. Implacable réquisitoire, aussi puissant que poignant, ce roman retrace le destin d'une compagnie dont les hommes vont être confrontés à la terreur de l'assaut. Que peuvent la fraternité et les rêves de paix face au déchaînement du métal en furie et à l'imminence de la tragédie ? Issu d'une famille de la noblesse prussienne, Fritz von Unruh (1885-1970) se consacre à l'écriture après avoir mis fin à sa carrière militaire.
Antinazi de la première heure, il choisit l'exil en France, puis aux Etats-Unis. Il ne retourne en Allemagne qu'en 1948 et y reçoit le prestigieux prix Goethe.
Ecrit alors que la bataille de Verdun fait rage et censuré jusqu'à la fin de 1918, Le chemin du sacrifice est, au même titre qu'Orages d'acier d'Ernst Jünger, dont il est le précurseur pacifiste, une oeuvre majeure de l'histoire de la littérature. Ancien officier de carrière, Fritz von Unruh se réengage dans l'armée en 1914. Il est encore auréolé du prix Kleist qu'il vient de recevoir et l'état-major lui confie la mission de faire la chronique de la bataille de Verdun qui se prépare.
Mais au lieu de rédiger une oeuvre à la gloire de l'héroïsme des soldats allemands, Unruh dénonce l'absurdité d'une guerre qui fait sombrer les hommes dans la folie. Implacable réquisitoire, aussi puissant que poignant, ce roman retrace le destin d'une compagnie dont les hommes vont être confrontés à la terreur de l'assaut. Que peuvent la fraternité et les rêves de paix face au déchaînement du métal en furie et à l'imminence de la tragédie ? Issu d'une famille de la noblesse prussienne, Fritz von Unruh (1885-1970) se consacre à l'écriture après avoir mis fin à sa carrière militaire.
Antinazi de la première heure, il choisit l'exil en France, puis aux Etats-Unis. Il ne retourne en Allemagne qu'en 1948 et y reçoit le prestigieux prix Goethe.
Mais au lieu de rédiger une oeuvre à la gloire de l'héroïsme des soldats allemands, Unruh dénonce l'absurdité d'une guerre qui fait sombrer les hommes dans la folie. Implacable réquisitoire, aussi puissant que poignant, ce roman retrace le destin d'une compagnie dont les hommes vont être confrontés à la terreur de l'assaut. Que peuvent la fraternité et les rêves de paix face au déchaînement du métal en furie et à l'imminence de la tragédie ? Issu d'une famille de la noblesse prussienne, Fritz von Unruh (1885-1970) se consacre à l'écriture après avoir mis fin à sa carrière militaire.
Antinazi de la première heure, il choisit l'exil en France, puis aux Etats-Unis. Il ne retourne en Allemagne qu'en 1948 et y reçoit le prestigieux prix Goethe.

