Le chef de la femme. Dieu(x), les femmes et la loi
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- Nombre de pages242
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.465 kg
- Dimensions15,4 cm × 22,8 cm × 1,7 cm
- ISBN978-3-7272-2076-0
- EAN9783727220760
- Date de parution01/09/2019
- ÉditeurStampfli
Résumé
La femme et l'homme sont égaux en droit. Pourtant, beaucoup de femmes constatent qu'il n'en est rien dans la réalité. Une accusation revient souvent chez celles et ceux qui dénoncent cet état de fait : ce sont les religions et leurs lois divines qui sont responsables de cette discrimination des filles d'Eve. Or, du Code d'Hammourabi au Coran, en passant par l'Antiquité gréco-romaine, l'Ancien et le Nouveau Testaments, ces prescriptions sont écrites en langage humain et toujours par des hommes qui façonnent les divinités à leur image : celle du chef qui protège et commande à sa femme comme à ses enfants.
On en retrouve la trace dans les lois civiles. Ainsi de l'article 213 du Code Napoléon de 1804 dont les rédacteurs se réclamaient de saint Paul : Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari, tandis qu'un siècle plus tard le législateur suisse composait ce bel alexandrin : Le mari est le chef de l'union conjugale. Croyants et incroyants trouveront matière à réflexion dans ce récit documentaire qui se termine sur un rappel des droits des femmes tels qu'ils sont aujourd'hui proclamés.
On en retrouve la trace dans les lois civiles. Ainsi de l'article 213 du Code Napoléon de 1804 dont les rédacteurs se réclamaient de saint Paul : Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari, tandis qu'un siècle plus tard le législateur suisse composait ce bel alexandrin : Le mari est le chef de l'union conjugale. Croyants et incroyants trouveront matière à réflexion dans ce récit documentaire qui se termine sur un rappel des droits des femmes tels qu'ils sont aujourd'hui proclamés.
La femme et l'homme sont égaux en droit. Pourtant, beaucoup de femmes constatent qu'il n'en est rien dans la réalité. Une accusation revient souvent chez celles et ceux qui dénoncent cet état de fait : ce sont les religions et leurs lois divines qui sont responsables de cette discrimination des filles d'Eve. Or, du Code d'Hammourabi au Coran, en passant par l'Antiquité gréco-romaine, l'Ancien et le Nouveau Testaments, ces prescriptions sont écrites en langage humain et toujours par des hommes qui façonnent les divinités à leur image : celle du chef qui protège et commande à sa femme comme à ses enfants.
On en retrouve la trace dans les lois civiles. Ainsi de l'article 213 du Code Napoléon de 1804 dont les rédacteurs se réclamaient de saint Paul : Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari, tandis qu'un siècle plus tard le législateur suisse composait ce bel alexandrin : Le mari est le chef de l'union conjugale. Croyants et incroyants trouveront matière à réflexion dans ce récit documentaire qui se termine sur un rappel des droits des femmes tels qu'ils sont aujourd'hui proclamés.
On en retrouve la trace dans les lois civiles. Ainsi de l'article 213 du Code Napoléon de 1804 dont les rédacteurs se réclamaient de saint Paul : Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari, tandis qu'un siècle plus tard le législateur suisse composait ce bel alexandrin : Le mari est le chef de l'union conjugale. Croyants et incroyants trouveront matière à réflexion dans ce récit documentaire qui se termine sur un rappel des droits des femmes tels qu'ils sont aujourd'hui proclamés.