Tout comme dans « Pax et le petit soldat », ce nouveau roman de Sara Pennypaker est porté par une plume élégante, poétique, et d’une grande douceur.
L’histoire, c’est celle de deux enfants qui n’ont, de par leur vécu, pas la même vision du monde., mais un même désir profond.
L’un est rêveur et peu sûr de lui, l’autre est désabusée et déterminée.
Tous deux ont une fêlure, pour des raisons différentes, mais leur rencontre, qui au début fait des étincelles, va les changer, les rapprocher, chacun puisant dans l’autre un peu de ce qu’il n’est pas en capacité de fournir.
Ce roman force la tendresse, il est émouvant, parfois drôle, candide, il est un hymne à la différence, au droit d’être soi, à la rêverie, à la sauvegarde de la nature, à l’inventivité, à l’imagination, à l’amitié…
On en ressort souriant, serein, épaté par l’éclatante simplicité avec laquelle son auteure délivre son propos.
Tout comme dans « Pax et le petit soldat », ce nouveau roman de Sara Pennypaker est porté par une plume élégante, poétique, et d’une grande douceur.
L’histoire, c’est celle de deux enfants qui n’ont, de par leur vécu, pas la même vision du monde., mais un même désir profond.
L’un est rêveur et peu sûr de lui, l’autre est désabusée et déterminée.
Tous deux ont une fêlure, pour des raisons différentes, mais leur rencontre, qui au début fait des étincelles, va les changer, les rapprocher, chacun puisant dans l’autre un peu de ce qu’il n’est pas en capacité de fournir.
Ce roman force la tendresse, il est émouvant, parfois drôle, candide, il est un hymne à la différence, au droit d’être soi, à la rêverie, à la sauvegarde de la nature, à l’inventivité, à l’imagination, à l’amitié…
On en ressort souriant, serein, épaté par l’éclatante simplicité avec laquelle son auteure délivre son propos.