Le chant du merle derrière les barreaux

Par : Leif Panduro

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  • Nombre de pages237
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.285 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-84679-044-2
  • EAN9782846790444
  • Date de parution19/10/2006
  • CollectionLettres d'ailleurs
  • ÉditeurGinkgo
  • TraducteurSophie Grimal
  • TraducteurFrédéric Gervais

Résumé

" Comme un idiot, j'avais pris ma cravate dans ta tirette du distributeur et je ne pouvais plus la dégager. J'étais si fatigué que je m'étais endormi comme ça, suspendu par la cravate. Et si l'agent n'était pas passé par là... " L'agent, justement, était passé. Et c'est ce qui, de fil en aiguille, fit échouer David en clinique psychiatrique. C'est d'ailleurs là que nous le retrouvons, commentant les événements et résistant à sa façon, celle de l'adolescent révolté.
De sa chambre, il analyse sa situation, mais aussi celle de chacune des personnes, membres de sa famille, amis, personnel médical, malades, qui l'entourent ou qui lui rendent visite. Des personnages picaresques traversent un récit éclaté dans sa construction, comme schizophrénique. Chaque situation est prétexte à une peinture au vitriol de son entourage. Cela nous vaudra une série de scènes contées avec une verve destructrice.
Une démolition en règle, furieusement réjouissante, une farce cruelle où pointe une ironie tendre et désespérée.
" Comme un idiot, j'avais pris ma cravate dans ta tirette du distributeur et je ne pouvais plus la dégager. J'étais si fatigué que je m'étais endormi comme ça, suspendu par la cravate. Et si l'agent n'était pas passé par là... " L'agent, justement, était passé. Et c'est ce qui, de fil en aiguille, fit échouer David en clinique psychiatrique. C'est d'ailleurs là que nous le retrouvons, commentant les événements et résistant à sa façon, celle de l'adolescent révolté.
De sa chambre, il analyse sa situation, mais aussi celle de chacune des personnes, membres de sa famille, amis, personnel médical, malades, qui l'entourent ou qui lui rendent visite. Des personnages picaresques traversent un récit éclaté dans sa construction, comme schizophrénique. Chaque situation est prétexte à une peinture au vitriol de son entourage. Cela nous vaudra une série de scènes contées avec une verve destructrice.
Une démolition en règle, furieusement réjouissante, une farce cruelle où pointe une ironie tendre et désespérée.