On ne présente plus Jean Bertolino, grand reporter de guerre pendant vingt sept ans, et producteur du magazine 52 sur la Une depuis treize ans. Mais derrière le baroudeur se cache un rêveur. Ils sont très peu à connaître le petit Jeannot de Savoie, qui se laisse encore subjuguer par les montagnes, les arbres, les fleurs, les torrents de son enfance et qui s'insurge contre ceux qui polluent notre terre ; très peu à avoir perçu derrière l'homme de terrain, le contemplatif qui après s'être plongé au cœur des conflits, vient admirer un coucher de soleil baignant de sa lumière dorée les ruines d'une cité Maya. Et puis il y a en lui ce fond rabelaisien qui, entre deux élans de tendresse, le pousse parfois à tonitruer de franches paillardises. Le montagnard se révèle enfin dans son aspect le plus authentique avec ce chant du Farou qui nous apporte un grand souffle de fraîcheur.
On ne présente plus Jean Bertolino, grand reporter de guerre pendant vingt sept ans, et producteur du magazine 52 sur la Une depuis treize ans. Mais derrière le baroudeur se cache un rêveur. Ils sont très peu à connaître le petit Jeannot de Savoie, qui se laisse encore subjuguer par les montagnes, les arbres, les fleurs, les torrents de son enfance et qui s'insurge contre ceux qui polluent notre terre ; très peu à avoir perçu derrière l'homme de terrain, le contemplatif qui après s'être plongé au cœur des conflits, vient admirer un coucher de soleil baignant de sa lumière dorée les ruines d'une cité Maya. Et puis il y a en lui ce fond rabelaisien qui, entre deux élans de tendresse, le pousse parfois à tonitruer de franches paillardises. Le montagnard se révèle enfin dans son aspect le plus authentique avec ce chant du Farou qui nous apporte un grand souffle de fraîcheur.