Le Chant des Villes. Anthologie du Manoir des Poètes

Par : Maggy De Coster

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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN2-913126-42-1
  • EAN9782913126428
  • Date de parution01/06/2006
  • ÉditeurDianoia
  • PréfacierMichel Bénard

Résumé

La ville fut de tout temps marquée par le sceau de l'ambiguïté, de l'ambivalence, par le signe d'une étrange séduction quelque peu similaire à celle de femmes fatales ou de chants de quelques sirènes délétères où chacun pourra meurtrir son cœur et briser son âme. La ville joue toujours de ce pouvoir à la fois des plus attractifs, mais également des plus répulsifs. Elle est indistinctement la source d'espoir des peuples nomades ou des travailleurs de la terre, et le constat d'échec déchirant et amer des laissés-pour-compte, des ombres du destin qui rien finissent pas de se faire broyer par les rouages du sacrifié et la soif inextinguible de la cité. La ville est à la fois lumière et ténèbres, parfum et poison, illusion et réalité implacable. La ville est ce gigantesque fanal où les foules hypnotisées viennent se brûler les ailes pour y perdre parfois leur liberté. La ville génère le merveilleux, engendre le meilleur, provoque la tentation, mais elle peut aussi devenir la corruption, la falsification, le repoussant. C'est pourquoi tout imprégnés par cette dualité, les poètes, depuis les origines, par leur inspiration encensent ou fustigent la cité. Chaque poète trouvera dans la ville de quoi alimenter son imaginaire, le nourrir de vertiges ou de poussières. (Extrait de la Préface de Michel Bénard)
La ville fut de tout temps marquée par le sceau de l'ambiguïté, de l'ambivalence, par le signe d'une étrange séduction quelque peu similaire à celle de femmes fatales ou de chants de quelques sirènes délétères où chacun pourra meurtrir son cœur et briser son âme. La ville joue toujours de ce pouvoir à la fois des plus attractifs, mais également des plus répulsifs. Elle est indistinctement la source d'espoir des peuples nomades ou des travailleurs de la terre, et le constat d'échec déchirant et amer des laissés-pour-compte, des ombres du destin qui rien finissent pas de se faire broyer par les rouages du sacrifié et la soif inextinguible de la cité. La ville est à la fois lumière et ténèbres, parfum et poison, illusion et réalité implacable. La ville est ce gigantesque fanal où les foules hypnotisées viennent se brûler les ailes pour y perdre parfois leur liberté. La ville génère le merveilleux, engendre le meilleur, provoque la tentation, mais elle peut aussi devenir la corruption, la falsification, le repoussant. C'est pourquoi tout imprégnés par cette dualité, les poètes, depuis les origines, par leur inspiration encensent ou fustigent la cité. Chaque poète trouvera dans la ville de quoi alimenter son imaginaire, le nourrir de vertiges ou de poussières. (Extrait de la Préface de Michel Bénard)
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