Le chant des ruines. Tome 2, Echapper à la Shoah - Errances et persécution de Sara Wijnberg

Par : Bernard Favre
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages158
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.173 kg
  • Dimensions11,9 cm × 19,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-35618-162-6
  • EAN9782356181626
  • Date de parution30/09/2019
  • CollectionRésister
  • ÉditeurAmpelos Editions
  • PréfacierKaty Hazan

Résumé

Hollandaise et Juive, Sara Wijnberg est née en 1903. Militante éprise de justice, elle est violée et mariée à 17 ans à un homme brutal et violent qui lui fera quatre enfants (assassinés plus tard à Sobibor, et Auschwitz) avant de réussir à divorcer en 1935. Commence alors une longue fuite : Belgique d'abord où elle rencontre Hugo Schmidt, jeune allemand antinazi, en partance pour les Brigades Internationales, puis en France où elle retrouve brièvement Hugo interné, avant d'être arrêtée et internée comme étrangère par la police française, enfin en Suisse (grâce au réseau du pasteur Chapal) où, internée, elle va apprendre la mort du Hugo tué aux Glières.
En septembre 1945, elle rentre en France avec les deux filles qu'elle a eues de Hugo ; elle aura alors un fils avec Paolo Batti, Italien et combattant antifasciste. Mais ce parcours, 4 pays, 9 camps d'internement ou de réfugiés ne s'arrête pas avec la paix : troublée par les persécutions qu'elle a subies, elle va faire de longs et nombreux séjours en hôpital psychiatrique. Avant de mourir, malade, à Lyon en 1973, elle gagnera quand même un procès qui l'opposait à l'état allemand.
Hollandaise et Juive, Sara Wijnberg est née en 1903. Militante éprise de justice, elle est violée et mariée à 17 ans à un homme brutal et violent qui lui fera quatre enfants (assassinés plus tard à Sobibor, et Auschwitz) avant de réussir à divorcer en 1935. Commence alors une longue fuite : Belgique d'abord où elle rencontre Hugo Schmidt, jeune allemand antinazi, en partance pour les Brigades Internationales, puis en France où elle retrouve brièvement Hugo interné, avant d'être arrêtée et internée comme étrangère par la police française, enfin en Suisse (grâce au réseau du pasteur Chapal) où, internée, elle va apprendre la mort du Hugo tué aux Glières.
En septembre 1945, elle rentre en France avec les deux filles qu'elle a eues de Hugo ; elle aura alors un fils avec Paolo Batti, Italien et combattant antifasciste. Mais ce parcours, 4 pays, 9 camps d'internement ou de réfugiés ne s'arrête pas avec la paix : troublée par les persécutions qu'elle a subies, elle va faire de longs et nombreux séjours en hôpital psychiatrique. Avant de mourir, malade, à Lyon en 1973, elle gagnera quand même un procès qui l'opposait à l'état allemand.