Le champignon des dieux. L'amanite tue-mouches

Par : Pierre Chavot

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  • Nombre de pages271
  • PrésentationBroché
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-84454-372-3
  • EAN9782844543721
  • Date de parution01/12/2005
  • ÉditeurDervy

Résumé

Pourquoi et comment le champignon sacré appelé l'amanite tue-mouches, que certains considèrent comme le plus ancien hallucinogène du monde, se retrouve-t-il dans les rites chamaniques sibériens, dans les traditions indiennes (soma) et perses (haoma), puis associé au culte grec de Dionysos, et aux prophètes de la Bible (dont Ézéchiel) voire à Jésus luimême ? Les anciens étaient intrigués par sa manière de croître sans graines, par la rapidité avec laquelle il apparaissait après la pluie et par sa prompte disparition. Les anciens voyaient dans sa forme phallique une représentation du dieu de la fécondité. C'était le " fils de Dieu " et son poison une forme plus pure des spermatozoïdes divins que tout ce que l'on pouvait trouver dans la matière vivante. C'était en fait Dieu lui-même, visible sur terre. Pour le mystique, c'était le moyen divinement donné pour entrer au ciel. Quels autres chemins a-t-il suivi pour figurer dans la basilique d'Aquilée au IIIe siècle et à l'abbaye de Plaincourault (1291) dans l'Indre ? Enfin, de quelle manière expliquer sa présence sur... les bûches de Noël : est-ce, comme on le pense, une résurgence des cultes germaniques (et scandinaves) dont cette fête très chrétienne a repris bien des aspects ? Cet ouvrage de référence rend compte des nouvelles découvertes sur le chamanisme, les champignons hallucinogènes, leur utilisation en médecine et les états modifiés de la conscience.
Pourquoi et comment le champignon sacré appelé l'amanite tue-mouches, que certains considèrent comme le plus ancien hallucinogène du monde, se retrouve-t-il dans les rites chamaniques sibériens, dans les traditions indiennes (soma) et perses (haoma), puis associé au culte grec de Dionysos, et aux prophètes de la Bible (dont Ézéchiel) voire à Jésus luimême ? Les anciens étaient intrigués par sa manière de croître sans graines, par la rapidité avec laquelle il apparaissait après la pluie et par sa prompte disparition. Les anciens voyaient dans sa forme phallique une représentation du dieu de la fécondité. C'était le " fils de Dieu " et son poison une forme plus pure des spermatozoïdes divins que tout ce que l'on pouvait trouver dans la matière vivante. C'était en fait Dieu lui-même, visible sur terre. Pour le mystique, c'était le moyen divinement donné pour entrer au ciel. Quels autres chemins a-t-il suivi pour figurer dans la basilique d'Aquilée au IIIe siècle et à l'abbaye de Plaincourault (1291) dans l'Indre ? Enfin, de quelle manière expliquer sa présence sur... les bûches de Noël : est-ce, comme on le pense, une résurgence des cultes germaniques (et scandinaves) dont cette fête très chrétienne a repris bien des aspects ? Cet ouvrage de référence rend compte des nouvelles découvertes sur le chamanisme, les champignons hallucinogènes, leur utilisation en médecine et les états modifiés de la conscience.
Moïse
Pierre Chavot
Poche
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