Le carnaval de Grenoble. Une émeute populaire en 1832

Par : René Bourgeois
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  • Nombre de pages127
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.35 kg
  • Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-914458-39-9
  • EAN9782914458399
  • Date de parution12/10/2017
  • CollectionPetites pages d'Histoire
  • ÉditeurEntre Temps

Résumé

Ce livre est le récit de plusieurs journées d'émeute qui mirent aux prises en 1832 les Grenoblois et les autorités civiles et militaires de la ville. La révolution de 1830 avait suscité de grands espoirs auxquels le début du règne de Louis-Philippe ne répondit que partiellement. Le gouvernement du Grenoblois Casimir Perier souleva une vague d'opposition et tandis que Lyon connaissait la première révolte des canuts en 1831, Grenoble fut le théâtre d'une émeute populaire lors du carnaval de 1832.
Le 11 mars, dimanche "des brandons", une mascarade bon enfant brocarde le "roi bourgeois" et le préfet décide en représailles d'interdire le bal costumé du soir. Le lendemain, une petite foule veut lui répondre par un charivari et se heurte à la force armée : les baïonnettes des voltigeurs du 35ème régiment de ligne font des dizaines de blessés. Le mardi, les autorités font face à une tentative de mouvement révolutionnaire vite étouffé, mais il ne faudra pas moins de trois mois, avec de multiples péripéties, pour que l'ordre règne enfin à Grenoble.
C'est ce que raconte ici l'auteur, professeur émérite de l'université Stendhal, en nous faisant suivre heure par heure ce petit drame en marge de la grande histoire.
Ce livre est le récit de plusieurs journées d'émeute qui mirent aux prises en 1832 les Grenoblois et les autorités civiles et militaires de la ville. La révolution de 1830 avait suscité de grands espoirs auxquels le début du règne de Louis-Philippe ne répondit que partiellement. Le gouvernement du Grenoblois Casimir Perier souleva une vague d'opposition et tandis que Lyon connaissait la première révolte des canuts en 1831, Grenoble fut le théâtre d'une émeute populaire lors du carnaval de 1832.
Le 11 mars, dimanche "des brandons", une mascarade bon enfant brocarde le "roi bourgeois" et le préfet décide en représailles d'interdire le bal costumé du soir. Le lendemain, une petite foule veut lui répondre par un charivari et se heurte à la force armée : les baïonnettes des voltigeurs du 35ème régiment de ligne font des dizaines de blessés. Le mardi, les autorités font face à une tentative de mouvement révolutionnaire vite étouffé, mais il ne faudra pas moins de trois mois, avec de multiples péripéties, pour que l'ordre règne enfin à Grenoble.
C'est ce que raconte ici l'auteur, professeur émérite de l'université Stendhal, en nous faisant suivre heure par heure ce petit drame en marge de la grande histoire.