Le capitalisme responsable

Par : Frédéric Parrat
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  • Nombre de pages366
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.55 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-36341-230-0
  • EAN9782363412300
  • Date de parution01/09/2021
  • CollectionCours de droit, éco, gestion
  • ÉditeurArchétype 82
  • PréfacierCaroline de La Marnierre

Résumé

Alors que la seconde révolution industrielle nous a apporté la démocratie et une relative prospérité, la révolution informatique puis numérique qui s'est développée ces dernières décennies dans le cadre d'un capitalisme financier et mondialisé, nous a apporté une économie, certes plus riche, mais aussi plus instable, plus endettée, plus polluée et plus inégalitaire. L'activité humaine, basée sur l'accumulation intensive du capital avec routes les formes d'extractivisme que l'on puisse imaginer, a permis de prélever et de transporter en masse des quantités astronomiques de ressources issues de la terre et des océans, modifiant irrémédiablement l'équilibre environnemental du monde.
Si les Etats sont parvenus à limiter les dégâts, c'est au prix d'un surcroit d'endettement qui obère aujourd'hui leurs capacités d'intervention. Avec l'émergence de la révolution quaternaire qui s'annonce, nous allons nue confrontés à de nouvelles contraintes qui nous mettre en place de nouvelles régulations, de nouvelles institutions et aussi de nouvelles modalités de gouvernance car la révolution qui est en cours est bien plus profonde que les révolutions technologiques précédentes dans la mesure où elle remet en cause les fondements même de notre société dans un contexte de révolution écologique.
Dans le cadre d'un capitalisme devenu enfin responsable, les entreprises devront créer de la valeur pour la société civile tout en améliorant leur compétitivité structurelle, ce qui constitue le seul moyen de sortir par le haut de l'austérité salariale qui mine depuis des décennie les classes moyennes.
Alors que la seconde révolution industrielle nous a apporté la démocratie et une relative prospérité, la révolution informatique puis numérique qui s'est développée ces dernières décennies dans le cadre d'un capitalisme financier et mondialisé, nous a apporté une économie, certes plus riche, mais aussi plus instable, plus endettée, plus polluée et plus inégalitaire. L'activité humaine, basée sur l'accumulation intensive du capital avec routes les formes d'extractivisme que l'on puisse imaginer, a permis de prélever et de transporter en masse des quantités astronomiques de ressources issues de la terre et des océans, modifiant irrémédiablement l'équilibre environnemental du monde.
Si les Etats sont parvenus à limiter les dégâts, c'est au prix d'un surcroit d'endettement qui obère aujourd'hui leurs capacités d'intervention. Avec l'émergence de la révolution quaternaire qui s'annonce, nous allons nue confrontés à de nouvelles contraintes qui nous mettre en place de nouvelles régulations, de nouvelles institutions et aussi de nouvelles modalités de gouvernance car la révolution qui est en cours est bien plus profonde que les révolutions technologiques précédentes dans la mesure où elle remet en cause les fondements même de notre société dans un contexte de révolution écologique.
Dans le cadre d'un capitalisme devenu enfin responsable, les entreprises devront créer de la valeur pour la société civile tout en améliorant leur compétitivité structurelle, ce qui constitue le seul moyen de sortir par le haut de l'austérité salariale qui mine depuis des décennie les classes moyennes.