Le capital-risque et le financement de l’innovation. Volume 5

Par : Bernard Guilhon

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  • Nombre de pages194
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-1-78405-612-4
  • EAN9781784056124
  • Date de parution01/01/2019
  • ÉditeurISTE éditions

Résumé

Le financement des projets innovants, fondamentalement ambigus, donne souvent lieu à des situations où la prise de décision est difficile. Cette dernière peut être améliorée par des pratiques telles que la syndication ou le financement par étapes. La dynamique de cette industrie demande de considérer les variables économiques et institutionnelles qui en font un système cohérent dans les pays anglo-saxons, mais qui, au contraire, la réduisent à une niche privilégiée par les pouvoirs publics en Europe et en France.
Cet ouvrage propose deux idées directrices. La première présente l'innovation comme un processus très incertain. Cela a pour effet de modifier l'écologie de la décision des acteurs financiers, qui interviennent très en amont du marché, pour asseoir sur des bases plus solides l'évaluation et la sélection des projets. La deuxième énonce que les acteurs détiennent des connaissances partielles dans un contexte où leur capacité d'attention est limitée.
Ces limitations cognitives nécessitent la formation de réseaux et donnent lieu à des relations de dépendance mutuelle et de complémentarité.
Le financement des projets innovants, fondamentalement ambigus, donne souvent lieu à des situations où la prise de décision est difficile. Cette dernière peut être améliorée par des pratiques telles que la syndication ou le financement par étapes. La dynamique de cette industrie demande de considérer les variables économiques et institutionnelles qui en font un système cohérent dans les pays anglo-saxons, mais qui, au contraire, la réduisent à une niche privilégiée par les pouvoirs publics en Europe et en France.
Cet ouvrage propose deux idées directrices. La première présente l'innovation comme un processus très incertain. Cela a pour effet de modifier l'écologie de la décision des acteurs financiers, qui interviennent très en amont du marché, pour asseoir sur des bases plus solides l'évaluation et la sélection des projets. La deuxième énonce que les acteurs détiennent des connaissances partielles dans un contexte où leur capacité d'attention est limitée.
Ces limitations cognitives nécessitent la formation de réseaux et donnent lieu à des relations de dépendance mutuelle et de complémentarité.