Le cabaret du Chien Noir et ses chansonniers

Par : Mouazan Katell
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  • Nombre de pages182
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.218 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-336-46849-5
  • EAN9782336468495
  • Date de parution06/03/2025
  • CollectionCabaret
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'histoire du cabaret du Chat Noir de Rodolphe Salis est dans la mémoire collective mais peu savent qu'il a eu un ennemi héréditaire : le cabaret du Chien Noir, né de ta dissidence des chansonniers du Chat Noir lassés de la pingrerie de leur patron Rodolphe Salis. Pendant sa courte existence, le tout-Paris s'y pressa après dîner pour entendre brocarder dans le plus pur esprit montmartrois les grands de ce monde, accompagnés au piano parle virtuose Charles de Sivry.
Ce cabaret absent des biographies de ses chansonniers et de ses propriétaires vit pourtant les débuts de la chanteuse lyrique Suzanne Dariel, et de Théodore Botrel fleurant bon le terroir breton très en vogue en cette fin de XIXe siècle . La mort de son créateur Jules Jouy, le retrait de son gérant, Théodore Botrel, parti soigner ses poumons à l'air breton, la censure moralisatrice qui commence à sévir, à l'initiative du préfet Lépine, sur Paris et sa Butte mettront fin à l'expérience.
L'histoire du cabaret du Chat Noir de Rodolphe Salis est dans la mémoire collective mais peu savent qu'il a eu un ennemi héréditaire : le cabaret du Chien Noir, né de ta dissidence des chansonniers du Chat Noir lassés de la pingrerie de leur patron Rodolphe Salis. Pendant sa courte existence, le tout-Paris s'y pressa après dîner pour entendre brocarder dans le plus pur esprit montmartrois les grands de ce monde, accompagnés au piano parle virtuose Charles de Sivry.
Ce cabaret absent des biographies de ses chansonniers et de ses propriétaires vit pourtant les débuts de la chanteuse lyrique Suzanne Dariel, et de Théodore Botrel fleurant bon le terroir breton très en vogue en cette fin de XIXe siècle . La mort de son créateur Jules Jouy, le retrait de son gérant, Théodore Botrel, parti soigner ses poumons à l'air breton, la censure moralisatrice qui commence à sévir, à l'initiative du préfet Lépine, sur Paris et sa Butte mettront fin à l'expérience.