Philippe Zawieja, chercheur associé, Centre de recherches sur les risques et les crises, MINES ParisTech,et cellule Recherche, ORPEA/CLINEA.
Le burn-out
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-13-063356-3
- EAN9782130633563
- Date de parution08/04/2015
- CollectionQue sais-je ?
- ÉditeurPUF
Résumé
Le burn-out est classiquement défini par trois phases telles qu’elles ont été énoncées par la psychologue américaine Christina Maslach : une phase d’épuisement professionnel, dont les signes peuvent être très divers (apathie ou, au contraire, hyperactivité professionnelle de type workhaholism) ; une phase de dépersonnalisation, dite de «cynisme», contribuant à la déshumanisation de la relation avec les tiers (collègues, usagers, patients, clients, etc.) ; une phase de perte d’estime de soi, marquée par un syndrome dépressif.
Globalement, l’épuisement professionnel, qui connaît aussi d’autres formes (fatigue compassionnelle, épuisement émotionnel, etc.), affecterait 20 % de la population active. Le burn-out toucherait de 25 à 40 % des infirmières, médecins, travailleurs sociaux ou enseignants, mais aussi, à des degrés divers, entraîneurs sportifs, prêtres, policiers, pompiers, avocats, magistrats, salariés des centres d’appel téléphonique… En fait, le phénomène atteint tous les métiers, toutes les fonctions et toutes les professions dans tous les secteurs économiques.
Mais, devenu la star des risques psychosociaux, le mot burn-out est à présent utilisé à tors et à travers, comme le fut le stress quelques années plus tôt. Cet ouvrage propose une synthèse de nos connaissances sur le burn-out. Il en précise la définition comme les effets psychologiques et économiques et invite à penser la prise en charge et la prévention de cette réalité du monde du travail.
Globalement, l’épuisement professionnel, qui connaît aussi d’autres formes (fatigue compassionnelle, épuisement émotionnel, etc.), affecterait 20 % de la population active. Le burn-out toucherait de 25 à 40 % des infirmières, médecins, travailleurs sociaux ou enseignants, mais aussi, à des degrés divers, entraîneurs sportifs, prêtres, policiers, pompiers, avocats, magistrats, salariés des centres d’appel téléphonique… En fait, le phénomène atteint tous les métiers, toutes les fonctions et toutes les professions dans tous les secteurs économiques.
Mais, devenu la star des risques psychosociaux, le mot burn-out est à présent utilisé à tors et à travers, comme le fut le stress quelques années plus tôt. Cet ouvrage propose une synthèse de nos connaissances sur le burn-out. Il en précise la définition comme les effets psychologiques et économiques et invite à penser la prise en charge et la prévention de cette réalité du monde du travail.
Le burn-out est classiquement défini par trois phases telles qu’elles ont été énoncées par la psychologue américaine Christina Maslach : une phase d’épuisement professionnel, dont les signes peuvent être très divers (apathie ou, au contraire, hyperactivité professionnelle de type workhaholism) ; une phase de dépersonnalisation, dite de «cynisme», contribuant à la déshumanisation de la relation avec les tiers (collègues, usagers, patients, clients, etc.) ; une phase de perte d’estime de soi, marquée par un syndrome dépressif.
Globalement, l’épuisement professionnel, qui connaît aussi d’autres formes (fatigue compassionnelle, épuisement émotionnel, etc.), affecterait 20 % de la population active. Le burn-out toucherait de 25 à 40 % des infirmières, médecins, travailleurs sociaux ou enseignants, mais aussi, à des degrés divers, entraîneurs sportifs, prêtres, policiers, pompiers, avocats, magistrats, salariés des centres d’appel téléphonique… En fait, le phénomène atteint tous les métiers, toutes les fonctions et toutes les professions dans tous les secteurs économiques.
Mais, devenu la star des risques psychosociaux, le mot burn-out est à présent utilisé à tors et à travers, comme le fut le stress quelques années plus tôt. Cet ouvrage propose une synthèse de nos connaissances sur le burn-out. Il en précise la définition comme les effets psychologiques et économiques et invite à penser la prise en charge et la prévention de cette réalité du monde du travail.
Globalement, l’épuisement professionnel, qui connaît aussi d’autres formes (fatigue compassionnelle, épuisement émotionnel, etc.), affecterait 20 % de la population active. Le burn-out toucherait de 25 à 40 % des infirmières, médecins, travailleurs sociaux ou enseignants, mais aussi, à des degrés divers, entraîneurs sportifs, prêtres, policiers, pompiers, avocats, magistrats, salariés des centres d’appel téléphonique… En fait, le phénomène atteint tous les métiers, toutes les fonctions et toutes les professions dans tous les secteurs économiques.
Mais, devenu la star des risques psychosociaux, le mot burn-out est à présent utilisé à tors et à travers, comme le fut le stress quelques années plus tôt. Cet ouvrage propose une synthèse de nos connaissances sur le burn-out. Il en précise la définition comme les effets psychologiques et économiques et invite à penser la prise en charge et la prévention de cette réalité du monde du travail.