Le bras du diable

Par : Julie Waeckerli

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  • Nombre de pages571
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,9 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-266-23565-5
  • EAN9782266235655
  • Date de parution07/05/2013
  • CollectionPocket. Thriller
  • ÉditeurPocket

Résumé

Alger, 1957. Dans les couloirs d’un centre de torture d’El Biar, le diable rôde. A bout de forces, une prisonnière veut se donner la mort. Ses bourreaux vont revenir d’une minute à l’autre... Comment leur échapper ? Cinquante ans plus tard, le passé resurgit. Un vieil homme bataille avec des souvenirs enfouis depuis longtemps. Des meurtres sanglants ont frappé son village. Qui est ce tueur qui signe de la lettre A ?
Alger, 1957. Dans les couloirs d’un centre de torture d’El Biar, le diable rôde. A bout de forces, une prisonnière veut se donner la mort. Ses bourreaux vont revenir d’une minute à l’autre... Comment leur échapper ? Cinquante ans plus tard, le passé resurgit. Un vieil homme bataille avec des souvenirs enfouis depuis longtemps. Des meurtres sanglants ont frappé son village. Qui est ce tueur qui signe de la lettre A ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 3 notes dont 1 avis lecteur
Une jeune auteure qui recèle de grandes qualités d’écriture ...
LE BRAS DU DIABLE voit le jour, quand Julie Waeckerli découvre un genre qu’elle n’apprécie pas spécialement, le thriller. C’est la lecture « Le 5ème règne » de Maxime Chattam qui lui donne l’envie de se lancer. Deux années d'écriture, deux années de correction et 700 pages plus tard, son thriller est né … « Du jeu à la réalité, il n’y a qu’un pas pour que le mal se réveille ! » LE BRAS DU DIABLE est un thriller composé de deux thèmes totalement distincts. Le premier est l’ésotérisme, pour lequel l’auteure a une véritable passion et le second est la guerre d’Algérie, sujet par lequel elle ouvre son roman. Banlieue d’Alger, 1957. « Les ténèbres l’enveloppaient. Un arôme de supplice flottait entre les murs, comme un goût de sang sec et intarissable. Dans la petite pièce, l’obscurité déployait ses bras de monstre, et engloutissait tout espoir de revoir le soleil … Depuis trois jours elle l’avait attendue, appelée, provoquée, mais la Faucille capricieuse refusait sa demande. Elle ne la laissait pas partir et accentuait sa souffrance … Elle était innocente, mais les militaires français s’en moquaient. Il n’y avait aucune loi pour leur interdire la torture … Soudain, la porte de la pièce s’enfonça. La lumière aveuglante d’une lampe torche lui éblouit les yeux. C’est elle. … ». Le prologue se déroule durant la guerre d’Algérie. Cette femme retenue prisonnière n’a qu’une idée en tête, mourir. Mais ce que son esprit voit comme une délivrance, son corps le lui refuse. Elle n’a même plus la force de mettre fin à ses jours. Et, dans les méandres de ses pensées, une voix lui susurre des vers, elle pense à « lui ». Lui, qui d’après ses bourreaux est mort. Mais elle voit la nuit éternelle la saluer enfin, lorsque ce lieutenant surnommé « le diable » ordonne à un soldat de tuer cette « putain d’Algérienne ». Court mais intense, il sème en moi le trouble et se révèlera déterminant pour la suite de ma lecture. Retrouvez la suite de ma chronique sur mon blog : http://lenoiremoi.overblog.com/le-bras-du-diable-de-julie-waeckerli
LE BRAS DU DIABLE voit le jour, quand Julie Waeckerli découvre un genre qu’elle n’apprécie pas spécialement, le thriller. C’est la lecture « Le 5ème règne » de Maxime Chattam qui lui donne l’envie de se lancer. Deux années d'écriture, deux années de correction et 700 pages plus tard, son thriller est né … « Du jeu à la réalité, il n’y a qu’un pas pour que le mal se réveille ! » LE BRAS DU DIABLE est un thriller composé de deux thèmes totalement distincts. Le premier est l’ésotérisme, pour lequel l’auteure a une véritable passion et le second est la guerre d’Algérie, sujet par lequel elle ouvre son roman. Banlieue d’Alger, 1957. « Les ténèbres l’enveloppaient. Un arôme de supplice flottait entre les murs, comme un goût de sang sec et intarissable. Dans la petite pièce, l’obscurité déployait ses bras de monstre, et engloutissait tout espoir de revoir le soleil … Depuis trois jours elle l’avait attendue, appelée, provoquée, mais la Faucille capricieuse refusait sa demande. Elle ne la laissait pas partir et accentuait sa souffrance … Elle était innocente, mais les militaires français s’en moquaient. Il n’y avait aucune loi pour leur interdire la torture … Soudain, la porte de la pièce s’enfonça. La lumière aveuglante d’une lampe torche lui éblouit les yeux. C’est elle. … ». Le prologue se déroule durant la guerre d’Algérie. Cette femme retenue prisonnière n’a qu’une idée en tête, mourir. Mais ce que son esprit voit comme une délivrance, son corps le lui refuse. Elle n’a même plus la force de mettre fin à ses jours. Et, dans les méandres de ses pensées, une voix lui susurre des vers, elle pense à « lui ». Lui, qui d’après ses bourreaux est mort. Mais elle voit la nuit éternelle la saluer enfin, lorsque ce lieutenant surnommé « le diable » ordonne à un soldat de tuer cette « putain d’Algérienne ». Court mais intense, il sème en moi le trouble et se révèlera déterminant pour la suite de ma lecture. Retrouvez la suite de ma chronique sur mon blog : http://lenoiremoi.overblog.com/le-bras-du-diable-de-julie-waeckerli