Le bracelet de parchemin. L'écrit sur soi au XVIIIe siècle
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- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- Poids0.162 kg
- Dimensions14,5 cm × 19,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-227-48768-0
- EAN9782227487680
- Date de parution11/09/2014
- CollectionLe rayon des curiosités
- ÉditeurBayard
Résumé
Il y a dix ans, Arlette Farge écrivait ce texte fondateur, nourri par une découverte dans les archives des procès-verbaux. Avant elle en effet, les historiens n'avaient pas prêté attention à ce minuscule morceau de papier, attaché au poignet des hommes et femmes précaires au XVIIIème siècle, dont les corps étaient identifiés par la police. A partir de ces traces écrites, l'historienne faisait le récit de ces vies oubliées, tentant de saisir ce qu'avaient pu être ces existences la plupart du temps muettes.
Le contexte éditorial actuel jette une autre lumière sur ce travail, tant les récits de vie sont à la mode et apparaissent même récemment, dans le projet de Pierre Rosanvallon par exemple, comme la manière de réparer notre démocratie. Dans une nouvelle préface, Arlette Farge ne cache pas ses réserves sur ces tentatives et nous invite à distinguer exposition de soi et singularité, juxtaposition des vies et émancipation collective.
Le contexte éditorial actuel jette une autre lumière sur ce travail, tant les récits de vie sont à la mode et apparaissent même récemment, dans le projet de Pierre Rosanvallon par exemple, comme la manière de réparer notre démocratie. Dans une nouvelle préface, Arlette Farge ne cache pas ses réserves sur ces tentatives et nous invite à distinguer exposition de soi et singularité, juxtaposition des vies et émancipation collective.
Il y a dix ans, Arlette Farge écrivait ce texte fondateur, nourri par une découverte dans les archives des procès-verbaux. Avant elle en effet, les historiens n'avaient pas prêté attention à ce minuscule morceau de papier, attaché au poignet des hommes et femmes précaires au XVIIIème siècle, dont les corps étaient identifiés par la police. A partir de ces traces écrites, l'historienne faisait le récit de ces vies oubliées, tentant de saisir ce qu'avaient pu être ces existences la plupart du temps muettes.
Le contexte éditorial actuel jette une autre lumière sur ce travail, tant les récits de vie sont à la mode et apparaissent même récemment, dans le projet de Pierre Rosanvallon par exemple, comme la manière de réparer notre démocratie. Dans une nouvelle préface, Arlette Farge ne cache pas ses réserves sur ces tentatives et nous invite à distinguer exposition de soi et singularité, juxtaposition des vies et émancipation collective.
Le contexte éditorial actuel jette une autre lumière sur ce travail, tant les récits de vie sont à la mode et apparaissent même récemment, dans le projet de Pierre Rosanvallon par exemple, comme la manière de réparer notre démocratie. Dans une nouvelle préface, Arlette Farge ne cache pas ses réserves sur ces tentatives et nous invite à distinguer exposition de soi et singularité, juxtaposition des vies et émancipation collective.