Le bomeur. Une vie de bobo chômeur

Par : Nathanaël Rouas
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages262
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.323 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-221-14141-0
  • EAN9782221141410
  • Date de parution13/03/2014
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

"Quand Lola m'a ajouté sur Facebook, elle a checké mon profil. En 586 photos, 320 statuts et 1 780 friends, elle en a déduit que j'étais un connard. Un connard prétentieux. Pour mes 1780 friends, j'ai une vie cool. Ils ne me voient pas bader le dimanche soir, seul chez moi devant mon ordinateur, une rediffusion de "Zone interdite" en fond sonore, et mon paquet de clopes vides sur la table basse. Je ne vais pas poster de photos de mon rendez-vous Pôle emploi à 9h30 à Belleville en plein hiver et de mon arrivée en scoot sous la pluie.
En fait, j'ai un statut social virtuel cool. Et un vrai statut social de merde".
"Quand Lola m'a ajouté sur Facebook, elle a checké mon profil. En 586 photos, 320 statuts et 1 780 friends, elle en a déduit que j'étais un connard. Un connard prétentieux. Pour mes 1780 friends, j'ai une vie cool. Ils ne me voient pas bader le dimanche soir, seul chez moi devant mon ordinateur, une rediffusion de "Zone interdite" en fond sonore, et mon paquet de clopes vides sur la table basse. Je ne vais pas poster de photos de mon rendez-vous Pôle emploi à 9h30 à Belleville en plein hiver et de mon arrivée en scoot sous la pluie.
En fait, j'ai un statut social virtuel cool. Et un vrai statut social de merde".