Le bluff du nucléaire. Le prétexte du climat

Par : Jean-Luc Pasquinet
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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-37263-079-5
  • EAN9782372630795
  • Date de parution30/01/2020
  • Collection1000 raisons
  • ÉditeurLibre & solidaire

Résumé

Avec ses 58 réacteurs, la France détient le record du pays le plus nucléarisé de la planète par rapport au nombre d'habitants. Pourtant aujourd'hui, le nucléaire est en déclin presque partout dans le monde... Dans les pays où sont implantées des centrales, les accidents se succèdent. De nombreux problèmes tels que le démantèlement des centrales, le recyclage des déchets, la création de zones inhabitables n'ont trouvé aucune solution.
Cette filière est en difficulté sur tous les fronts : concurrence des énergies renouvelables, maîtrise des risques, dépassement considérable des budgets prévus pour l'EPR, abandon d'Astrid, fin de vie des réacteurs... Mais la France persiste dans cette voie dangereuse. Dans la confusion la plus totale, il est temps de se confronter à la réalité des faits et de comprendre que cette énergie n'est pas une solution viable et ne résoudra en rien la crise du réchauffement climatique.
L'arrêt immédiat est possible et son impact économique et environnemental serait mineur, car le nucléaire ne représente que 2% de la consommation d'énergie dans le monde... La question climatique exige une rupture culturelle et la folie nucléaire ne peut qu'ajouter des catastrophes à un avenir déjà lourd de menaces.
Avec ses 58 réacteurs, la France détient le record du pays le plus nucléarisé de la planète par rapport au nombre d'habitants. Pourtant aujourd'hui, le nucléaire est en déclin presque partout dans le monde... Dans les pays où sont implantées des centrales, les accidents se succèdent. De nombreux problèmes tels que le démantèlement des centrales, le recyclage des déchets, la création de zones inhabitables n'ont trouvé aucune solution.
Cette filière est en difficulté sur tous les fronts : concurrence des énergies renouvelables, maîtrise des risques, dépassement considérable des budgets prévus pour l'EPR, abandon d'Astrid, fin de vie des réacteurs... Mais la France persiste dans cette voie dangereuse. Dans la confusion la plus totale, il est temps de se confronter à la réalité des faits et de comprendre que cette énergie n'est pas une solution viable et ne résoudra en rien la crise du réchauffement climatique.
L'arrêt immédiat est possible et son impact économique et environnemental serait mineur, car le nucléaire ne représente que 2% de la consommation d'énergie dans le monde... La question climatique exige une rupture culturelle et la folie nucléaire ne peut qu'ajouter des catastrophes à un avenir déjà lourd de menaces.