Le bien commun. Enjeu politique du développement durable

Par : Jacques Beauchard
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  • Nombre de pages84
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.115 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-343-23582-0
  • EAN9782343235820
  • Date de parution19/07/2021
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Face aux maux qui nous affectent, il importe d'intégrer les composantes de notre milieu de vie : l'eau, l'air, le climat, le vent, l'alternance du jour et de la nuit sont les agents primaires du Bien Commun. Soit une sensibilité qui refonde l'identification de la rivière, du rivage, de l'espace maritime, de la montagne, de l'habiter, de la faune et de la flore, de la terre, comme agents d'un "être collectif" aujourd'hui menacé.
Constitué par le vivant et le non-vivant, cet être collectif se tient au coeur du territoire et c'est lui qui est en quête du Bien Commun. Car, les sites et leur patrimoine, vivant et non vivant, faune et flore, sont porteurs d'une coopération vitale, "horizontale" qui seule permet de gérer un développement durable. Mais, toujours insuffisant et face à des intérêts contraires, le Bien Commun mobilise des rivalités opposées.
Au-delà de l'aspect consensuel, sa promotion implique d'en reconnaître le caractère conflictuel.
Face aux maux qui nous affectent, il importe d'intégrer les composantes de notre milieu de vie : l'eau, l'air, le climat, le vent, l'alternance du jour et de la nuit sont les agents primaires du Bien Commun. Soit une sensibilité qui refonde l'identification de la rivière, du rivage, de l'espace maritime, de la montagne, de l'habiter, de la faune et de la flore, de la terre, comme agents d'un "être collectif" aujourd'hui menacé.
Constitué par le vivant et le non-vivant, cet être collectif se tient au coeur du territoire et c'est lui qui est en quête du Bien Commun. Car, les sites et leur patrimoine, vivant et non vivant, faune et flore, sont porteurs d'une coopération vitale, "horizontale" qui seule permet de gérer un développement durable. Mais, toujours insuffisant et face à des intérêts contraires, le Bien Commun mobilise des rivalités opposées.
Au-delà de l'aspect consensuel, sa promotion implique d'en reconnaître le caractère conflictuel.