Le Bien. Edification, exemple et scandale dans le roman du XIXe siècle

Par : Mathilde Bertrand, Paolo Tortonese
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.517 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-87854-710-8
  • EAN9782878547108
  • Date de parution25/07/2017
  • ÉditeurPresses Sorbonne Nouvelle

Résumé

Le bonheur n'a pas d'histoire et les bons sentiments ont mauvaise presse dans le roman réaliste. Balzac s'interrogeait en 1842 sur "le difficile problème littéraire qui consiste à rendre intéressant un personnage vertueux" . Héros sans tache et femmes honnêtes, victimes innocentes et riches bienfaiteurs risquent fort d'ennuyer le lecteur et contreviennent aux exigences du roman de moeurs, qui vise à démasquer le mal caché sous les apparences du bien.
Pourtant, un récit sans pôle positif est difficile à mener. La mise en scène du bien, l'édification et l'exemplarité ne sont pas l'apanage des romanciers idéalistes et autres opposants du réalisme ; les réalistes eux-mêmes ont recours au spectacle du bien, ne serait-ce que comme repoussoir du mal. Dans un monde romanesque où le mal est devenu la norme, il peut même arriver au bien de faire scandale.
Le bonheur n'a pas d'histoire et les bons sentiments ont mauvaise presse dans le roman réaliste. Balzac s'interrogeait en 1842 sur "le difficile problème littéraire qui consiste à rendre intéressant un personnage vertueux" . Héros sans tache et femmes honnêtes, victimes innocentes et riches bienfaiteurs risquent fort d'ennuyer le lecteur et contreviennent aux exigences du roman de moeurs, qui vise à démasquer le mal caché sous les apparences du bien.
Pourtant, un récit sans pôle positif est difficile à mener. La mise en scène du bien, l'édification et l'exemplarité ne sont pas l'apanage des romanciers idéalistes et autres opposants du réalisme ; les réalistes eux-mêmes ont recours au spectacle du bien, ne serait-ce que comme repoussoir du mal. Dans un monde romanesque où le mal est devenu la norme, il peut même arriver au bien de faire scandale.
Correspondance
Marcel Proust, Robert de Montesquiou
Poche
9,00 €
Correspondance
Anna de Noailles, Marcel Proust
E-book
7,49 €
Correspondance
Anna de Noailles, Marcel Proust
E-book
7,49 €
Correspondance
Marcel Proust, Robert de Montesquiou
E-book
8,99 €
Correspondance
Marcel Proust, Robert de Montesquiou
E-book
8,99 €