Le Berry d'antan. A travers la carte postale ancienne
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages157
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.45 kg
- Dimensions25,0 cm × 32,5 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-35720-046-3
- EAN9782357200463
- Date de parution01/10/2010
- CollectionLa France d'antan
- ÉditeurHC Editions
Résumé
A travers plus de 400 cartes postales anciennes, Patrick Martinat dépeint avec passion l'histoire du Berry et la vie des Berrichons à la Belle Epoque. Il nous fait revivre les dernières moissons à la faucille et les premiers essais des batteuses mécaniques sur les terres nourricières du Berry ; participer à l'animation des villages autour de la place, de la mairie et de l'école ; retrouver les lavandières sur les bords du canal de Berry et les ramasseuses de bois mort à l'orée des forêts. Bourges, Vierzon et Châteauroux sont alors de grandes cités au passé glorieux qui s'adaptent aux exigences d'une vie nouvelle, tout comme les industries (porcelaine, armement, textile, forge, fonderie...) qui profitent de l'arrivée du chemin de fer pour faire la fortune de la région. Le voyage s'achève avec les fêtes traditionnelles du Berry d'antan. Un Berry qui mêle savamment cultes religieux et rites païens, processions et bals populaires, dimanches aux champs et grandes cavalcades.
A travers plus de 400 cartes postales anciennes, Patrick Martinat dépeint avec passion l'histoire du Berry et la vie des Berrichons à la Belle Epoque. Il nous fait revivre les dernières moissons à la faucille et les premiers essais des batteuses mécaniques sur les terres nourricières du Berry ; participer à l'animation des villages autour de la place, de la mairie et de l'école ; retrouver les lavandières sur les bords du canal de Berry et les ramasseuses de bois mort à l'orée des forêts. Bourges, Vierzon et Châteauroux sont alors de grandes cités au passé glorieux qui s'adaptent aux exigences d'une vie nouvelle, tout comme les industries (porcelaine, armement, textile, forge, fonderie...) qui profitent de l'arrivée du chemin de fer pour faire la fortune de la région. Le voyage s'achève avec les fêtes traditionnelles du Berry d'antan. Un Berry qui mêle savamment cultes religieux et rites païens, processions et bals populaires, dimanches aux champs et grandes cavalcades.