Le baume et la douleur. Carnets 2008 - 2009
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- Nombre de pages234
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,8 cm × 22,5 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-8309-1402-3
- EAN9782830914023
- Date de parution18/11/2010
- ÉditeurLabor et Fides
Résumé
Les présents carnets qui s'étendent sur deux années (2008-2009) s'efforcent de croire en la beauté du clair-obscur. Ils ont pour toile de fond un rejet subi, une dépossession affective, un deuil. Mais, jour après jour, ils s'attachent à explorer au-delà d'un état intérieur assez sombre des annonces de lumière. Ce sont celles que reflètent les sages, les spirituels, les moralistes, les philosophes et les poètes. L'auteur les interroge et s'interroge, comme il pense que pourraient le faire aussi tous ceux dont les yeux sont humides. Texte de recherche, d'aveu, de tâtonnements, de consolation. Mais toute littérature, le mot étant pris dans un sens large, n'est-elle pas, d'une manière ou d'une autre, une consolation, qu'elle désigne des actes d'accommodement, de discernement, de dépassement, voire : de gaîté ? Alors - qui sait ? - la nuit que semble annoncer la pénombre du crépuscule fera pressentir aussi bien l'aube du jour à venir.
Les présents carnets qui s'étendent sur deux années (2008-2009) s'efforcent de croire en la beauté du clair-obscur. Ils ont pour toile de fond un rejet subi, une dépossession affective, un deuil. Mais, jour après jour, ils s'attachent à explorer au-delà d'un état intérieur assez sombre des annonces de lumière. Ce sont celles que reflètent les sages, les spirituels, les moralistes, les philosophes et les poètes. L'auteur les interroge et s'interroge, comme il pense que pourraient le faire aussi tous ceux dont les yeux sont humides. Texte de recherche, d'aveu, de tâtonnements, de consolation. Mais toute littérature, le mot étant pris dans un sens large, n'est-elle pas, d'une manière ou d'une autre, une consolation, qu'elle désigne des actes d'accommodement, de discernement, de dépassement, voire : de gaîté ? Alors - qui sait ? - la nuit que semble annoncer la pénombre du crépuscule fera pressentir aussi bien l'aube du jour à venir.













