Prix Nobel de Littérature 2018
À paraître
Le banquet des Empouses. Roman d'épouvante naturopathique
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- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.215 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-253-25147-7
- EAN9782253251477
- Date de parution20/08/2025
- CollectionLe Livre de Poche
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
- TraducteurMaryla Laurent
Résumé
En septembre 1912, lorsqu'il arrive au sanatorium de Görbersdorf en Silésie, le jeune Wojnicz espère guérir de sa tuberculose. A la Pension pour Messieurs, il intègre la société exclusivement masculine d'une demi-douzaine de patients qui, jour après jour, discutent de la marche du monde et, surtout, de la "question de la femme" . Hypersensible, malmené par un père autoritaire, Wojnicz s'efforce de dissimuler aux autres ce qu'il redoute encore de devenir.
Alors qu'il est question de meurtres rituels et de sorcières ayant trouvé refuge dans la forêt, notre héros va marcher au-devant de forces obscures dont il ne sait pas qu'elles s'intéressent déjà à lui. Car en arrière-plan de ce symposium des misogynies s'élève la voix d'une entité féminine, omniprésente et omnisciente... Gothique en diable, admirablement construit, ce clin d'oeil canaille à La Montagne magique mène son lecteur, yeux bandés, jusqu'à un final paroxystique.
Fabrice Colin, Lire magazine. Formidablement inventif : un mix de fable historique et de polar métaphysique, autant qu'un affectueux et satirique pied de nez à Thomas Mann et à Kafka. Didier Jacob, Le Nouvel Obs. Traduit du polonais par Maryla Laurent.
Alors qu'il est question de meurtres rituels et de sorcières ayant trouvé refuge dans la forêt, notre héros va marcher au-devant de forces obscures dont il ne sait pas qu'elles s'intéressent déjà à lui. Car en arrière-plan de ce symposium des misogynies s'élève la voix d'une entité féminine, omniprésente et omnisciente... Gothique en diable, admirablement construit, ce clin d'oeil canaille à La Montagne magique mène son lecteur, yeux bandés, jusqu'à un final paroxystique.
Fabrice Colin, Lire magazine. Formidablement inventif : un mix de fable historique et de polar métaphysique, autant qu'un affectueux et satirique pied de nez à Thomas Mann et à Kafka. Didier Jacob, Le Nouvel Obs. Traduit du polonais par Maryla Laurent.
En septembre 1912, lorsqu'il arrive au sanatorium de Görbersdorf en Silésie, le jeune Wojnicz espère guérir de sa tuberculose. A la Pension pour Messieurs, il intègre la société exclusivement masculine d'une demi-douzaine de patients qui, jour après jour, discutent de la marche du monde et, surtout, de la "question de la femme" . Hypersensible, malmené par un père autoritaire, Wojnicz s'efforce de dissimuler aux autres ce qu'il redoute encore de devenir.
Alors qu'il est question de meurtres rituels et de sorcières ayant trouvé refuge dans la forêt, notre héros va marcher au-devant de forces obscures dont il ne sait pas qu'elles s'intéressent déjà à lui. Car en arrière-plan de ce symposium des misogynies s'élève la voix d'une entité féminine, omniprésente et omnisciente... Gothique en diable, admirablement construit, ce clin d'oeil canaille à La Montagne magique mène son lecteur, yeux bandés, jusqu'à un final paroxystique.
Fabrice Colin, Lire magazine. Formidablement inventif : un mix de fable historique et de polar métaphysique, autant qu'un affectueux et satirique pied de nez à Thomas Mann et à Kafka. Didier Jacob, Le Nouvel Obs. Traduit du polonais par Maryla Laurent.
Alors qu'il est question de meurtres rituels et de sorcières ayant trouvé refuge dans la forêt, notre héros va marcher au-devant de forces obscures dont il ne sait pas qu'elles s'intéressent déjà à lui. Car en arrière-plan de ce symposium des misogynies s'élève la voix d'une entité féminine, omniprésente et omnisciente... Gothique en diable, admirablement construit, ce clin d'oeil canaille à La Montagne magique mène son lecteur, yeux bandés, jusqu'à un final paroxystique.
Fabrice Colin, Lire magazine. Formidablement inventif : un mix de fable historique et de polar métaphysique, autant qu'un affectueux et satirique pied de nez à Thomas Mann et à Kafka. Didier Jacob, Le Nouvel Obs. Traduit du polonais par Maryla Laurent.