Lalandiana. Volume 4, Voyage de Hollande (1774)

Par : Jérôme Lalande
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  • Nombre de pages326
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.395 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7116-2856-8
  • EAN9782711628568
  • Date de parution17/09/2019
  • CollectionL'histoire des sciences
  • ÉditeurVrin
  • Commentateur (texte)Annie Chassagne
  • Commentateur (texte)Simone Dumont
  • Commentateur (texte)Jean-Claude Pecker
  • Commentateur (texte)Huib Zuidervaart

Résumé

Jérôme Lalande craignait le mal de mer. C'est pourquoi il refusa de se joindre à l'une quelconque des nombreuses expéditions (à l'organisation desquelles il avait activement participé) destinées à étudier le passage de Vénus devant le Soleil (en 1761 et 1769), en vue de déterminer la parallaxe de ce dernier (d'où sa distance). Il ne reste pas moins qu'il fut un voyageur impénitent sur notre continent.
Ce fut d'abord, il était encore très jeune, son voyage à Berlin : c'est là qu'il observa la Lune (concurremment à son collègue et ami l'abbé de La Caille qui, lui, observait au cap de Bonne-Espérance). Il s'agissait de déterminer la parallaxe de la Lune. En Angleterre Lalande fit deux voyages dont l'un est relaté dans les lettres à Madame du Piéry (voir Lalaniana 1). Son voyage en Italie est amplement décrit dans son ouvrage très détaillé sur le périple qu'il effectua dans la péninsule.
Enfin l'on sait que son voyage à Gotha sur l'invitation de son ami von Zach se transforma en quelque sorte en un véritable colloque international autour de lui. Le voyage de Lalande en Hollande n'a pas bénéficié d'autant de célébrité, mais l'astronome a laissé un Journal de voyage passionnant dans un petit carnet, très simple et d'une écriture rapide, qui est conservé à la bibliothèque de l'Institut de France.
C'est ce Journal que nous avons déchiffré, analysé, édité et commenté, dans le présent volume.
Jérôme Lalande craignait le mal de mer. C'est pourquoi il refusa de se joindre à l'une quelconque des nombreuses expéditions (à l'organisation desquelles il avait activement participé) destinées à étudier le passage de Vénus devant le Soleil (en 1761 et 1769), en vue de déterminer la parallaxe de ce dernier (d'où sa distance). Il ne reste pas moins qu'il fut un voyageur impénitent sur notre continent.
Ce fut d'abord, il était encore très jeune, son voyage à Berlin : c'est là qu'il observa la Lune (concurremment à son collègue et ami l'abbé de La Caille qui, lui, observait au cap de Bonne-Espérance). Il s'agissait de déterminer la parallaxe de la Lune. En Angleterre Lalande fit deux voyages dont l'un est relaté dans les lettres à Madame du Piéry (voir Lalaniana 1). Son voyage en Italie est amplement décrit dans son ouvrage très détaillé sur le périple qu'il effectua dans la péninsule.
Enfin l'on sait que son voyage à Gotha sur l'invitation de son ami von Zach se transforma en quelque sorte en un véritable colloque international autour de lui. Le voyage de Lalande en Hollande n'a pas bénéficié d'autant de célébrité, mais l'astronome a laissé un Journal de voyage passionnant dans un petit carnet, très simple et d'une écriture rapide, qui est conservé à la bibliothèque de l'Institut de France.
C'est ce Journal que nous avons déchiffré, analysé, édité et commenté, dans le présent volume.