La mer nous le rappelle qui ne cesse de s'abandonner, sitôt que la colère la quitte, à la mélancolie du reflux. Sans doute, en hiver, en Bretagne, retrouverons-nous plus aisément une consolation tranquille, nos morts devenus doucement sereins, tandis que la marée remonte. C'est ici que les poèmes de Patrick Argenté ont rencontré les photographies de Nadia Lhote. A moins que ce ne fût l'inverse.
La mer nous le rappelle qui ne cesse de s'abandonner, sitôt que la colère la quitte, à la mélancolie du reflux. Sans doute, en hiver, en Bretagne, retrouverons-nous plus aisément une consolation tranquille, nos morts devenus doucement sereins, tandis que la marée remonte. C'est ici que les poèmes de Patrick Argenté ont rencontré les photographies de Nadia Lhote. A moins que ce ne fût l'inverse.