Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il peut paraître surprenant de voir associés en un même ensemble critique Henri Thomas et Antonio Lobo Antunes, Franz Kafka et Eugenio Montale, ou...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Il peut paraître surprenant de voir associés en un même ensemble critique Henri Thomas et Antonio Lobo Antunes, Franz Kafka et Eugenio Montale, ou encore Borges et Antoine Volodine. Sauf que la pluralité des lectures et des plaisirs se joue souvent des familles littéraires. Pour Christian Garcin, ces écrivains-là n'en restent pas moins, à des degrés divers, représentatifs d'une conception dense, exigeante, " verticale ", de la littérature. Le fil invisible qui les relie, c'est du côté de Borges qu'il faut le chercher. Le labyrinthe, figure emblématique de l'univers borgesien, dessine dans l'espace textuel d'improbables rencontres, des bifurcations, des échos, des indices disséminés qui prennent sens bien après qu'on les a dépassés. On y chemine de couloir en couloir, c'est-à-dire de monde en monde, c'est-à-dire d'univers romanesque en univers romanesque, et à arpenter ainsi cet espace de mots, on devient le lieu labyrinthique où se réunissent ces univers apparemment disparates. Dans la chambre centrale trône toujours le Minotaure argentin et aveugle qui de près ou de loin hante tous ces textes.