Exposant leurs propres limites, les récits scottiens et aurevilliens apportent une réponse consciemment imparfaite aux interrogations que pose le mélange du factuel et du fictif, dans le roman historique ainsi que dans toute narration réaliste.
Exposant leurs propres limites, les récits scottiens et aurevilliens apportent une réponse consciemment imparfaite aux interrogations que pose le mélange du factuel et du fictif, dans le roman historique ainsi que dans toute narration réaliste.