La ville, une impression sociale
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- Nombre de pages122
- PrésentationBroché
- Poids0.143 kg
- Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-84242-324-7
- EAN9782842423247
- Date de parution05/01/2012
- CollectionL'art de ne pas
- ÉditeurCircé
Résumé
La mise en relation du corps, de l'image et des mondes
urbains, mène à l'idée d'un exil fondateur, d'un déracinement
heureux. On est ici très loin de l'obligation de participation ou
du souci d'intégration. Etre auteur suppose un détachement.
Celui-ci ne suppose pas une pédagogie. Il est radical. Voici le
postulat, simple et sans discussion : nous sommes toujours
dans une in-situation que donnent le corps, l'image et la ville.
Identité indécise, urbanisation étalée, rapport à l'image complexe... Voilà tout ce que l'on sait déjà. Mais il faut enfoncer un clou décalé. En passant comme par méandres, mouvements, indécisions (et décisions aussi) par Jacques Réda, Edward Hopper, François Bon. La ville, une impression sociale analyse l'incommunication et le décalage, comme manières d'être au monde. Une impression, c'est à la fois ce qui devrait donner un sentiment fort et ce qui se tient en retrait, sans assurance.
Une certaine sérénité tragique vient parfois d'une simple "impression".
Identité indécise, urbanisation étalée, rapport à l'image complexe... Voilà tout ce que l'on sait déjà. Mais il faut enfoncer un clou décalé. En passant comme par méandres, mouvements, indécisions (et décisions aussi) par Jacques Réda, Edward Hopper, François Bon. La ville, une impression sociale analyse l'incommunication et le décalage, comme manières d'être au monde. Une impression, c'est à la fois ce qui devrait donner un sentiment fort et ce qui se tient en retrait, sans assurance.
Une certaine sérénité tragique vient parfois d'une simple "impression".
La mise en relation du corps, de l'image et des mondes
urbains, mène à l'idée d'un exil fondateur, d'un déracinement
heureux. On est ici très loin de l'obligation de participation ou
du souci d'intégration. Etre auteur suppose un détachement.
Celui-ci ne suppose pas une pédagogie. Il est radical. Voici le
postulat, simple et sans discussion : nous sommes toujours
dans une in-situation que donnent le corps, l'image et la ville.
Identité indécise, urbanisation étalée, rapport à l'image complexe... Voilà tout ce que l'on sait déjà. Mais il faut enfoncer un clou décalé. En passant comme par méandres, mouvements, indécisions (et décisions aussi) par Jacques Réda, Edward Hopper, François Bon. La ville, une impression sociale analyse l'incommunication et le décalage, comme manières d'être au monde. Une impression, c'est à la fois ce qui devrait donner un sentiment fort et ce qui se tient en retrait, sans assurance.
Une certaine sérénité tragique vient parfois d'une simple "impression".
Identité indécise, urbanisation étalée, rapport à l'image complexe... Voilà tout ce que l'on sait déjà. Mais il faut enfoncer un clou décalé. En passant comme par méandres, mouvements, indécisions (et décisions aussi) par Jacques Réda, Edward Hopper, François Bon. La ville, une impression sociale analyse l'incommunication et le décalage, comme manières d'être au monde. Une impression, c'est à la fois ce qui devrait donner un sentiment fort et ce qui se tient en retrait, sans assurance.
Une certaine sérénité tragique vient parfois d'une simple "impression".