La ville aux acacias

Par : Mihail Sebastian

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7152-5530-2
  • EAN9782715255302
  • Date de parution08/10/2020
  • CollectionBibliothèque étrangère
  • ÉditeurMercure de France
  • TraducteurFlorica Courriol

Résumé

Quand arriva le printemps, Adriana retrouva une ancienne mélancolie, de vagues désirs, des plaisirs incertains. Ses yeux s'embuaient sans motif apparent, ses paupières s'alourdissaient d'une mystérieuse torpeur, ses seins frissonnaient sous le tissu de ses robes. Elle attendait, sans savoir quoi. A quinze ans, Adriana attend l'amour, bien sûr. Ravissante adolescente, élevée au coeur de la bourgeoisie roumaine des années 1920, elle découvre ses premiers émois, d'abord pour un beau cousin, puis pour un jeune étudiant.
Mais à part un flirt de plus en plus poussé, rien n'est permis. Jusqu'au jour où la passion risque de tout emporter...
Quand arriva le printemps, Adriana retrouva une ancienne mélancolie, de vagues désirs, des plaisirs incertains. Ses yeux s'embuaient sans motif apparent, ses paupières s'alourdissaient d'une mystérieuse torpeur, ses seins frissonnaient sous le tissu de ses robes. Elle attendait, sans savoir quoi. A quinze ans, Adriana attend l'amour, bien sûr. Ravissante adolescente, élevée au coeur de la bourgeoisie roumaine des années 1920, elle découvre ses premiers émois, d'abord pour un beau cousin, puis pour un jeune étudiant.
Mais à part un flirt de plus en plus poussé, rien n'est permis. Jusqu'au jour où la passion risque de tout emporter...

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5/5
sur 5 notes dont 16 avis lecteurs
Roman inédit de Mihaïl Sebastian
Les éditions Mercure de France inscrivent, sur leur beau catalogue, La ville aux acacias de Mihail Sebastian, édité en 1936 et disponible depuis octobre 2020 en France, qui rejoint « l’accident » paru en 2002. Auteur encore insuffisamment connu, au destin tragique, à la fois écrivain, journaliste, dramaturge, de culture juive il survécut à la seconde guerre en Roumanie, mais fut écrasé par un camion russe en 1945, à seulement 38 ans. Ses œuvres sont rares et il ne faut pas bouder son plaisir avec cet inédit de grande qualité. L’avis et la critique livre. Cet article vous est proposé par le chroniqueur Chris L.. Synopsis : À quinze ans, Adriana attend l’amour, bien sûr. Ravissante adolescente, élevée au cœur de la bourgeoisie roumaine des années 1920, elle découvre ses premiers émois, d’abord pour un beau cousin, puis pour un jeune étudiant. Mais à part un flirt de plus en plus poussé, rien n’est permis. Jusqu’au jour où la passion risque de tout emporter… La ville aux acacias, le temps de l’éveil adolescent Dans la province roumaine, le temps s’écoule paisiblement au rythme des saisons, avec une rivière paresseuse la Vive, qui s’est séparée en deux bras à proximité de la ville en créant une île. La ville laisse éclater le charme de ses acacias en fleurs. C’est le temps de l’éveil adolescent pour une jeunesse protégée, plongée par instants dans des langueurs, dans la mélancolie. Adriana, quinze ans, d’une grande beauté, est sous le charme de son cousin, de huit ans son aîné, Paul, et se croît amoureuse, le temps de son séjour professionnel. Dès son départ, c’est le retour à la vie étriquée, policée, de cette ville sans aspérité. Fille unique, choyée, scolarisée au cours Notre Dame d’Avignon, elle jouit de libertés insoupçonnées. Des amitiés solides naissent avec Cécilia, Victor et Gelou. Durant l’hiver les après-midi passés en commun chez Adriana, dans sa chambre, sont répétitifs et calmes. Pendant qu’elle effectue ses gammes au piano, Cécilia étudie et Gelou lit. Bientôt l’emploi du temps s’enrichit de leçons de piano dispensés par une professeure française. Un cadeau de son père, acheté à Bucarest pour ses seize ans, va modifier progressivement cette vie. Le cahier de musique offert, chansons à la blonde Agnès, d’un certain Cello Violin, rapidement pris en main, révèle des complexités insoupçonnées dans la façon d’être interprété. Ce n’est pas aussi futile qu’il y paraît à première vue. Invité d’honneur de la ville, qui jadis l’a rejeté, il remercie Adriana pour son interprétation publique très personnelle de son oeuvre. Un roman plein de douceur apparente Elle part rapidement à Bucarest aider sa tante à aménager l’appartement de son cousin Paul qui vient de se marier. Son épouse Lucrétia, originaire de D…, lui est connue pour avoir partagé les mêmes cours, sans aucune amitié entre elles. Leur seul point commun est celui d’avoir été à tour de rôle l’élève préférée de sœur Denise. Emerveillée par la vie trépidante de la ville, elle s’enivre par des sorties qui s’accroissent après avoir retrouvé Cello Violin par le plus grand des hasards, à un arrêt de bus. C’est l’emballement de la vie, des sentiments amoureux auxquels succèdent abattement, incertitudes, tristesse, doutes. Sa mission achevée il lui faut rentrer dans sa ville natale. Et l’inquiétude, le vague à l’âme, s’emparent d’elle, face à son incapacité à reconstituer les amitiés oubliées. Elle se sent encore plus seule lorsque Gelou part faire ses études d’ingénieur à Bucarest. N’en disons pas plus sur l’amitié entre Gelou et Cello Violin, ni sur le retour d’Adriana à Bucarest. De nombreux secrets et surprises vont encore se dévoiler. Mihail Sebastian tisse un roman plein de douceur apparente où les émois et atermoiements des protagonistes sont parfaitement restitués ainsi que leurs indécisions, incertitudes et non-dits. Parmi les personnages secondaires émergent Elisabéta, un tantinet pimbêche, avec ses thés dansants, et Boutsa le marginal. Le travail de Mihail Sebastian est sublimé grâce à Florica Courriol, la traductrice. Un livre qui se délecte page après page, tant pour la beauté de la langue que pour son écriture fluide. Un pur moment de bonheur que d’avoir retrouver ce magnifique auteur roumain.
Les éditions Mercure de France inscrivent, sur leur beau catalogue, La ville aux acacias de Mihail Sebastian, édité en 1936 et disponible depuis octobre 2020 en France, qui rejoint « l’accident » paru en 2002. Auteur encore insuffisamment connu, au destin tragique, à la fois écrivain, journaliste, dramaturge, de culture juive il survécut à la seconde guerre en Roumanie, mais fut écrasé par un camion russe en 1945, à seulement 38 ans. Ses œuvres sont rares et il ne faut pas bouder son plaisir avec cet inédit de grande qualité. L’avis et la critique livre. Cet article vous est proposé par le chroniqueur Chris L.. Synopsis : À quinze ans, Adriana attend l’amour, bien sûr. Ravissante adolescente, élevée au cœur de la bourgeoisie roumaine des années 1920, elle découvre ses premiers émois, d’abord pour un beau cousin, puis pour un jeune étudiant. Mais à part un flirt de plus en plus poussé, rien n’est permis. Jusqu’au jour où la passion risque de tout emporter… La ville aux acacias, le temps de l’éveil adolescent Dans la province roumaine, le temps s’écoule paisiblement au rythme des saisons, avec une rivière paresseuse la Vive, qui s’est séparée en deux bras à proximité de la ville en créant une île. La ville laisse éclater le charme de ses acacias en fleurs. C’est le temps de l’éveil adolescent pour une jeunesse protégée, plongée par instants dans des langueurs, dans la mélancolie. Adriana, quinze ans, d’une grande beauté, est sous le charme de son cousin, de huit ans son aîné, Paul, et se croît amoureuse, le temps de son séjour professionnel. Dès son départ, c’est le retour à la vie étriquée, policée, de cette ville sans aspérité. Fille unique, choyée, scolarisée au cours Notre Dame d’Avignon, elle jouit de libertés insoupçonnées. Des amitiés solides naissent avec Cécilia, Victor et Gelou. Durant l’hiver les après-midi passés en commun chez Adriana, dans sa chambre, sont répétitifs et calmes. Pendant qu’elle effectue ses gammes au piano, Cécilia étudie et Gelou lit. Bientôt l’emploi du temps s’enrichit de leçons de piano dispensés par une professeure française. Un cadeau de son père, acheté à Bucarest pour ses seize ans, va modifier progressivement cette vie. Le cahier de musique offert, chansons à la blonde Agnès, d’un certain Cello Violin, rapidement pris en main, révèle des complexités insoupçonnées dans la façon d’être interprété. Ce n’est pas aussi futile qu’il y paraît à première vue. Invité d’honneur de la ville, qui jadis l’a rejeté, il remercie Adriana pour son interprétation publique très personnelle de son oeuvre. Un roman plein de douceur apparente Elle part rapidement à Bucarest aider sa tante à aménager l’appartement de son cousin Paul qui vient de se marier. Son épouse Lucrétia, originaire de D…, lui est connue pour avoir partagé les mêmes cours, sans aucune amitié entre elles. Leur seul point commun est celui d’avoir été à tour de rôle l’élève préférée de sœur Denise. Emerveillée par la vie trépidante de la ville, elle s’enivre par des sorties qui s’accroissent après avoir retrouvé Cello Violin par le plus grand des hasards, à un arrêt de bus. C’est l’emballement de la vie, des sentiments amoureux auxquels succèdent abattement, incertitudes, tristesse, doutes. Sa mission achevée il lui faut rentrer dans sa ville natale. Et l’inquiétude, le vague à l’âme, s’emparent d’elle, face à son incapacité à reconstituer les amitiés oubliées. Elle se sent encore plus seule lorsque Gelou part faire ses études d’ingénieur à Bucarest. N’en disons pas plus sur l’amitié entre Gelou et Cello Violin, ni sur le retour d’Adriana à Bucarest. De nombreux secrets et surprises vont encore se dévoiler. Mihail Sebastian tisse un roman plein de douceur apparente où les émois et atermoiements des protagonistes sont parfaitement restitués ainsi que leurs indécisions, incertitudes et non-dits. Parmi les personnages secondaires émergent Elisabéta, un tantinet pimbêche, avec ses thés dansants, et Boutsa le marginal. Le travail de Mihail Sebastian est sublimé grâce à Florica Courriol, la traductrice. Un livre qui se délecte page après page, tant pour la beauté de la langue que pour son écriture fluide. Un pur moment de bonheur que d’avoir retrouver ce magnifique auteur roumain.
Sébastian
Nouvelle chronique élogieuse et juste sur Babelio : " à Lireaimer pour ce livre aimablement transmis et que j'ai dévoré en une soirée. On est envoûté par une écriture magique, une intrigue étonnante, un personnage de jeune fille devenue femme, étrangement libre à une époque encore frileuse - entre les deux guerres mondiales. Une mention toute spéciale à la traduction qui nous permet de découvrir un Sebastian que nous pensions connaître par les oeuvres déjà disponibles en français et dont nous avons lu la plupart. Mais ce texte est une révélation, celle d'un écrivain qui aime la langue, dont le texte est un personnage à lui seul. Ce qui ne nous avait pas frappé dans les autres livres traduits de lui en français nous est donné ici. le plaisir de l'histoire racontée est décuplé par l'enchantement de l'écriture. Félicitations à la traductrice qui n'en pas à sa première réussite...."
Nouvelle chronique élogieuse et juste sur Babelio : " à Lireaimer pour ce livre aimablement transmis et que j'ai dévoré en une soirée. On est envoûté par une écriture magique, une intrigue étonnante, un personnage de jeune fille devenue femme, étrangement libre à une époque encore frileuse - entre les deux guerres mondiales. Une mention toute spéciale à la traduction qui nous permet de découvrir un Sebastian que nous pensions connaître par les oeuvres déjà disponibles en français et dont nous avons lu la plupart. Mais ce texte est une révélation, celle d'un écrivain qui aime la langue, dont le texte est un personnage à lui seul. Ce qui ne nous avait pas frappé dans les autres livres traduits de lui en français nous est donné ici. le plaisir de l'histoire racontée est décuplé par l'enchantement de l'écriture. Félicitations à la traductrice qui n'en pas à sa première réussite...."
La ville aux acacias- Sebastian Editions Mercure de France
Merci, Eulalie, pour cette belle chronique et ce fragment alléchant !!!
Merci, Eulalie, pour cette belle chronique et ce fragment alléchant !!!
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