La Vie sera plus belle

Paris, début 44. Aux yeux de Louise, militante communiste, Sébastien, alias Longueville, est un personnage fascinant : résistant F.T.P., homme d'excès et d'absolu, il ne semble obéir qu'à son propre idéal de noblesse et de liberté. Mais lorsque Sébastien se mettra en tête de sauver la fiancée juive de son meilleur ami devenu pétainiste, Louise n'aura d'autre choix que de se démettre ou se soumettre à la passion des sentiments et des événements. Rien ne tourne comme on le croit et dans ces temps troublés, l'Histoire démasque les visages. De la clandestinité à la France libre et aux plages du débarquement, nous découvrons, au fil de péripéties, un héros engagé et solitaire, rebelle à tous les dogmes, formidablement attachant. Par le judicieux mélange de l'action et des sentiments, des coups d'audace et des coups de cœur, Olivier Frébourg a réussi brillamment... François Bott, Le Monde. Olivier Frébourg fait encore mieux aujourd'hui que Modiano hier : il fait mieux qu'aucun combattant de l'ombre ne l'a jamais raconté. Michel Huvet, Le Bien Public. Un roman qui bouge. Ils sont rares, les romanciers de vingt-huit ans qui savent faire bouger un roman. Bernard Frank, Le Nouvel Observateur.