La vie secrète du seigneur

Par : Jun'ichiro Tanizaki

Disponible d'occasion :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-07-070228-6
  • EAN9782070702282
  • Date de parution01/05/1987
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Les deux brefs romans historiques ici réunis ont été écrits en 1931 et 1932. Ils expriment, avec un raffinement et une culture exceptionnels, l'obsession de la perversion sous différentes formes. Il s'agit, dans le premier récit, d'une chronique consacrée à un guerrier imaginaire du XVIe siècle, et, dans le second, d'un journal de voyage dans la région de Yoshino, zone reculée de montagnes, vestige de la civilisation médiévale.
Le seigneur de Musashi passe pour vertueux. Tanizaki, transformé en historien, s'attache à rétablir la vérité qui est tout autre. Dans son enfance, le héros a assisté à une scène bouleversante : dans la salle obscure d'un château, où il est retenu comme «otage d'honneur», il surprend de jolies femmes en train de maquiller et de classer des têtes coupées de guerriers ennemis. L'enfant remarque alors une tête particulièrement saisissante, que l'on surnomme «tête de femme», c'est-à-dire une tête dont on a arraché le nez pendant le combat.
C'est le point de départ d'une hantise et d'un fantasme. Le roman raconte une vie tout entière employée à reconstruire cette image de l'enfance, et le Roman de Genji sert de toile de fond à ce récit d'une extraordinaire violence. Le lierre de Yoshino se présente sous la forme de simples notes de voyage. L'auteur se souvient d'un séjour qu'il avait effectué dans la région de Yoshino alors qu'il préparait un roman, vingt ans auparavant.
Il était accompagné d'un vieil ami, avec lequel il s'était livré à ces «divagations» historiques, littéraires, musicales, culinaires que suscitent les lieux traversés. Mais ces digressions, qui révèlent la profonde connaissance que l'auteur de l'Eloge de l'ombre avait de la civilisation classique, cachent un mystère, celui de la mère du vieil ami. On lit alors l'un des plus beaux textes que Tanizaki ait jamais écrits : son intérêt réside moins dans l'anecdote proprement dite que dans l'évocation poétique d'un monde perdu et d'une des régions les plus belles du Japon.
Les deux brefs romans historiques ici réunis ont été écrits en 1931 et 1932. Ils expriment, avec un raffinement et une culture exceptionnels, l'obsession de la perversion sous différentes formes. Il s'agit, dans le premier récit, d'une chronique consacrée à un guerrier imaginaire du XVIe siècle, et, dans le second, d'un journal de voyage dans la région de Yoshino, zone reculée de montagnes, vestige de la civilisation médiévale.
Le seigneur de Musashi passe pour vertueux. Tanizaki, transformé en historien, s'attache à rétablir la vérité qui est tout autre. Dans son enfance, le héros a assisté à une scène bouleversante : dans la salle obscure d'un château, où il est retenu comme «otage d'honneur», il surprend de jolies femmes en train de maquiller et de classer des têtes coupées de guerriers ennemis. L'enfant remarque alors une tête particulièrement saisissante, que l'on surnomme «tête de femme», c'est-à-dire une tête dont on a arraché le nez pendant le combat.
C'est le point de départ d'une hantise et d'un fantasme. Le roman raconte une vie tout entière employée à reconstruire cette image de l'enfance, et le Roman de Genji sert de toile de fond à ce récit d'une extraordinaire violence. Le lierre de Yoshino se présente sous la forme de simples notes de voyage. L'auteur se souvient d'un séjour qu'il avait effectué dans la région de Yoshino alors qu'il préparait un roman, vingt ans auparavant.
Il était accompagné d'un vieil ami, avec lequel il s'était livré à ces «divagations» historiques, littéraires, musicales, culinaires que suscitent les lieux traversés. Mais ces digressions, qui révèlent la profonde connaissance que l'auteur de l'Eloge de l'ombre avait de la civilisation classique, cachent un mystère, celui de la mère du vieil ami. On lit alors l'un des plus beaux textes que Tanizaki ait jamais écrits : son intérêt réside moins dans l'anecdote proprement dite que dans l'évocation poétique d'un monde perdu et d'une des régions les plus belles du Japon.
Eloge de l'ombre
5/5
Jun'ichiro Tanizaki
Grand Format
16,50 €
Quatre soeurs
5/5
4/5
Jun'ichiro Tanizaki
Poche
13,90 €
Louange de l'ombre
Jun'ichiro Tanizaki
E-book
8,99 €
Louange de l'ombre
Jun'ichiro Tanizaki
Grand Format
13,00 €
Un amour insensé
4.3/5
Jun'ichiro Tanizaki
Poche
9,50 €
Svastika
5/5
Jun'ichiro Tanizaki
Poche
9,50 €
Dans l'oeil du démon
Jun'ichiro Tanizaki
E-book
6,49 €
Oeuvres
Jun'ichiro Tanizaki
79,00 €
Romans, nouvelles
Jun'ichiro Tanizaki
Grand Format
25,40 €