La vie rêvée. Journal de poésie 1929-1933

Par : Antonia Pozzi
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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.499 kg
  • Dimensions16,0 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-84590-226-8
  • EAN9782845902268
  • Date de parution11/02/2016
  • CollectionNeige
  • ÉditeurArfuyen
  • TraducteurThierry Gillyboeuf

Résumé

Malgré une mort prématurée à l'âge de 26 ans, Antonia Pozzi (1912-1938) a laissé une oeuvre considérable dont la publication posthume a révélé la force et l'originalité. Vittorio Sereni, l'un de ses plus proches amis, reconnut le premier ses dons exceptionnels. Eugenio Montale admirait lui aussi la " pureté du son " et la " limpidité des images " de la poésie d'Antonia Pozzi. T. S. Eliot quant à lui se disait frappé par " sa pureté et sa probité d'esprit ".
Un an après sa mort, les éditions Mondadori publient sous le titre Parole un premier ensemble de ses poèmes (1939). L'année suivante paraît sa thèse : Flaubert. La formazione letteraria (Garzanti, Milan, 1940). D'autres éditions se succèdent : en 1948, Parole. Diario di poesia 1930-1938 ; en 1948, une édition préfacée par Montale. La parution des journaux et correspondances (notamment avec Sereni) révèle une personnalité complexe et attachante.
Comme les poèmes de Katherine Mansfield sont partie intégrante de son journal et seulement différents par la forme, le Diario di poesia est un journal entièrement fait de poèmes, qui, grâce à la vivacité du regard et à la limpidité du style échappent aux dangers de la complaisance comme du prosaïsme. Les traductions d'Antonio Pozzi se sont multipliées : en allemand, anglais, espagnol, portugais, roumain...
Mais en français, seul a paru en 2009 un petit volume bilingue de 88 pages : La route du mourir (trad. Patrick Reumaux, Librairie E. Brunet, Rouen). Passionné par l'oeuvre d'Antonia Pozzi et traducteur émérite, Thierry Gillyboeuf a entrepris de donner en français l'intégrale de l'oeuvre poétique d'Antonia Pozzi, soit un ensemble bilingue de 600 pages réparti en deux volumes.
Malgré une mort prématurée à l'âge de 26 ans, Antonia Pozzi (1912-1938) a laissé une oeuvre considérable dont la publication posthume a révélé la force et l'originalité. Vittorio Sereni, l'un de ses plus proches amis, reconnut le premier ses dons exceptionnels. Eugenio Montale admirait lui aussi la " pureté du son " et la " limpidité des images " de la poésie d'Antonia Pozzi. T. S. Eliot quant à lui se disait frappé par " sa pureté et sa probité d'esprit ".
Un an après sa mort, les éditions Mondadori publient sous le titre Parole un premier ensemble de ses poèmes (1939). L'année suivante paraît sa thèse : Flaubert. La formazione letteraria (Garzanti, Milan, 1940). D'autres éditions se succèdent : en 1948, Parole. Diario di poesia 1930-1938 ; en 1948, une édition préfacée par Montale. La parution des journaux et correspondances (notamment avec Sereni) révèle une personnalité complexe et attachante.
Comme les poèmes de Katherine Mansfield sont partie intégrante de son journal et seulement différents par la forme, le Diario di poesia est un journal entièrement fait de poèmes, qui, grâce à la vivacité du regard et à la limpidité du style échappent aux dangers de la complaisance comme du prosaïsme. Les traductions d'Antonio Pozzi se sont multipliées : en allemand, anglais, espagnol, portugais, roumain...
Mais en français, seul a paru en 2009 un petit volume bilingue de 88 pages : La route du mourir (trad. Patrick Reumaux, Librairie E. Brunet, Rouen). Passionné par l'oeuvre d'Antonia Pozzi et traducteur émérite, Thierry Gillyboeuf a entrepris de donner en français l'intégrale de l'oeuvre poétique d'Antonia Pozzi, soit un ensemble bilingue de 600 pages réparti en deux volumes.
Parole
Antonia Pozzi
E-book
19,99 €