Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
A la veille de son mariage, l'écrivain Alejandro Losada entreprend un voyage à Chicago pour y donner une conférence. Dans l'avion, il fait la connaissance...
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Résumé
A la veille de son mariage, l'écrivain Alejandro Losada entreprend un voyage à Chicago pour y donner une conférence. Dans l'avion, il fait la connaissance d'Elena, une jeune admiratrice de ses livres, et à Chicago celle de Tom Chambers qui lui confie plusieurs bandes magnétiques sur Fanny Riffel, une pin-up glamour des années cinquante brusquement disparue sans laisser de trace. De retour en Espagne, Elena sombre dans la démence et entraîne Alejandro et son ami Bruno dans les méandres de la culpabilité et de la rédemption. Et tout comme Tom Chambers, faussement coupable, avait désespérément cherché Fanny pour la sauver de la dégradation et de l'abjection, Alejandro part à la recherche d'Elena dans le Madrid sordide de la prostitution et de la misère afin d'expier une faute plus imaginaire que réelle. Gouverné par des forces obscures qui échappent à son contrôle, Alejandro plonge alors dans les abîmes de la vie invisible où Fanny et Elena, proies de la folie et de la passion, mélanges d'abjection et de pureté, ont forgé leur destin tragique. Dans une prose prodigieusement belle et imaginative, le plus talentueux des jeunes écrivains espagnols nous offre son plus beau roman, une sombre et éblouissante enquête sur les supplices de la culpabilité et le monde apocalyptique de la déraison.
Né en 1970 à Baracaldo (Biscaye), Juan Manuel de Prada publie son premier livre Cons, en 1995. Prix Ojo Crítico de Narrativa pour Les Masques du héros puis prix Planeta pour La Tempête, il a reçu en 2004 le Prix national de littératures. Ses romans sont aujourd'hui traduits en plus de quinze langues.