A la pierre je relègue mes doutes, mes insolubles, au silence écumant je sacrifie la neige de mes pensées, à cette nuit en ma chair j'abandonne ma demeure. Du vide vertigineux j'apprends les gammes de la disparition.
A la pierre je relègue mes doutes, mes insolubles, au silence écumant je sacrifie la neige de mes pensées, à cette nuit en ma chair j'abandonne ma demeure. Du vide vertigineux j'apprends les gammes de la disparition.