La vie en rouge coquelicot

Par : Pol-Serge Kakon
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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-37320-031-7
  • EAN9782373200317
  • Date de parution10/03/2020
  • CollectionAutres rives
  • ÉditeurBalzac éditeur

Résumé

Il dit : "... La France ne saura jamais assez ce qu'elle m'a pris, pas plus qu'elle ne sait tout ce que je lui dois". Son agent, lui, se contente de préciser dans le catalogue de ses expositions : "Prédestiné, né à Paris, à Montparnasse, dans un atelier de peintres juifs". Elevé par des "Justes", Jack J. Minkovski se demande comment préserver, sans la taire, son enfance dans les vignes du Bordelais.
Il avait cinq ans quand ses parents ont été dénoncés, déportés et assassinés à Auschwitz. Hélène, peintre, et Robert, poète et viticulteur, l'ont élevé. Socrate, ancien résistant et prof de philo, son parrain implicite, lui instille dans la pensée le "Tikoun Olam", ce concept de la philosophie juive, l'aspiration à "réparer le monde". Jack y souscrit passionnément dans son oeuvre. Cependant le succès que rencontre sa peinture ne le détourne pas de l'obsession de retrouver le portrait de sa mère, réalisé par Modigliani, à la terrasse de la Rotonde, à Montparnasse et volé dans l'atelier de ses parents le jour de leur arrestation.
Son secret depuis l'enfance : défier l'équilibre au-dessus des toits à Madrid, à Paris, à New York, les yeux bandés, en tête à tête avec l'absolu, il discerne dans l'espace, le visage de sa mère. Passion, amour, beauté, désirs et défis, ainsi se répare une vie si mal commencée, ainsi se répare un peu le monde.
Il dit : "... La France ne saura jamais assez ce qu'elle m'a pris, pas plus qu'elle ne sait tout ce que je lui dois". Son agent, lui, se contente de préciser dans le catalogue de ses expositions : "Prédestiné, né à Paris, à Montparnasse, dans un atelier de peintres juifs". Elevé par des "Justes", Jack J. Minkovski se demande comment préserver, sans la taire, son enfance dans les vignes du Bordelais.
Il avait cinq ans quand ses parents ont été dénoncés, déportés et assassinés à Auschwitz. Hélène, peintre, et Robert, poète et viticulteur, l'ont élevé. Socrate, ancien résistant et prof de philo, son parrain implicite, lui instille dans la pensée le "Tikoun Olam", ce concept de la philosophie juive, l'aspiration à "réparer le monde". Jack y souscrit passionnément dans son oeuvre. Cependant le succès que rencontre sa peinture ne le détourne pas de l'obsession de retrouver le portrait de sa mère, réalisé par Modigliani, à la terrasse de la Rotonde, à Montparnasse et volé dans l'atelier de ses parents le jour de leur arrestation.
Son secret depuis l'enfance : défier l'équilibre au-dessus des toits à Madrid, à Paris, à New York, les yeux bandés, en tête à tête avec l'absolu, il discerne dans l'espace, le visage de sa mère. Passion, amour, beauté, désirs et défis, ainsi se répare une vie si mal commencée, ainsi se répare un peu le monde.