La vie aux Antilles françaises au temps de Victor Schoelcher. XIXe siècle

Par : Liliane Chauleau

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  • Nombre de pages379
  • PrésentationBroché
  • Poids0.46 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-296-96467-9
  • EAN9782296964679
  • Date de parution01/02/2012
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

À la Martinique et à la Guadeloupe, dans les deux Antilles françaises, se produit, en 1848, ce qui est aujourd'hui encore ressenti comme l'événement du siècle, l'abolition de l'esclavage. Le nom d'un homme, Victor Schoelcher, est demeuré lié à cet événement, auquel on associe volontiers aujourd'hui le mouvement des esclaves du 22 mai, à la Martinique, qui a entraîné, dans les deux îles, l'abolition immédiate.
Après Victor Schoelcher, les Antilles entrent dans l'ère moderne. Dans les villes évolue une population colorée qui s'affirme, de plus en plus sensibilisée aux luttes politiques et aux problèmes économiques. Dans les campagnes s'étendent à perte de vue les plantations de canne à sucre, mais les premières usines apparaissent, relayant les fabriques artisanales. Délaissant peu à peu le grand domaine, l'habitation, les travailleurs agricoles préfèrent partir en quête de nouvelles terres.
Cependant, les traditions se perpétuent, ancestrales dans les techniques, solidement ancrées dans les usages de la vie privée comme de ces fêtes et danses dont l'écho demeure toujours vivace.
À la Martinique et à la Guadeloupe, dans les deux Antilles françaises, se produit, en 1848, ce qui est aujourd'hui encore ressenti comme l'événement du siècle, l'abolition de l'esclavage. Le nom d'un homme, Victor Schoelcher, est demeuré lié à cet événement, auquel on associe volontiers aujourd'hui le mouvement des esclaves du 22 mai, à la Martinique, qui a entraîné, dans les deux îles, l'abolition immédiate.
Après Victor Schoelcher, les Antilles entrent dans l'ère moderne. Dans les villes évolue une population colorée qui s'affirme, de plus en plus sensibilisée aux luttes politiques et aux problèmes économiques. Dans les campagnes s'étendent à perte de vue les plantations de canne à sucre, mais les premières usines apparaissent, relayant les fabriques artisanales. Délaissant peu à peu le grand domaine, l'habitation, les travailleurs agricoles préfèrent partir en quête de nouvelles terres.
Cependant, les traditions se perpétuent, ancestrales dans les techniques, solidement ancrées dans les usages de la vie privée comme de ces fêtes et danses dont l'écho demeure toujours vivace.