Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Vous étiez trop léger est le deuxième volume de la " Trilogie Transylvaine ", chef-d'oeuvre du romancier hongrois Miklós Bánffy. On y retrouve les...
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Livré chez vous entre le 11 février et le 14 février
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Résumé
Vous étiez trop léger est le deuxième volume de la " Trilogie Transylvaine ", chef-d'oeuvre du romancier hongrois Miklós Bánffy. On y retrouve les personnages du premier volume Vos jours sont comptés, paru en libretto en janvier 2010 : notamment le comte Balint et sa maîtresse Adrienne, que tout semble unir, mais que tout sépare. Tout l'art de Bánffy consiste à faire vivre sous nos yeux l'histoire particulière de plusieurs couples et celle d'un empire austro-hongrois sur le déclin. Tous tentant par mille efforts dérisoires d'échapper à la chute. Ce deuxième volume se présente comme un grand roman où danse et virevolte sous nos yeux une société raffinée qui se ruine en banquets, en parties de chasse, en courses de chevaux. Mais tous ces ingrédients pourraient donner une idée inexacte de l'oeuvre, en vérité bien plus sombre qu'il n'y paraît de prime abord. En toile de fond à cette fresque impressionnante sont révélés sans complaisance les démons qui se trouvent secrètement à l'oeuvre en cette trop " Belle Epoque ".
Miklós Bánffy (1873-1950) est né à Cluj (aujourd'hui en Roumanie). Il sera au début du siècle un écrivain fêté, un administrateur de théâtre curieux de la modernité, un homme politique influent... avant que l'Histoire et ses violences ne viennent ruiner sa carrière, le condamnant pour finir à l'exil dans son propre pays. Le meilleur de l'oeuvre de Bánffy, cette Chronique transylvaine, sera victime de la violence politique de l'époque. Composée peu avant la Seconde Guerre mondiale, elle aurait pu être enfin " reconnue " à son heure, après 1945... mais cette perspective lui sera refusée par l'Histoire. C'est une traduction anglaise à la fin des années 1990 qui fera connaître cette œuvre au monde, soulevant l'enthousiasme de la critique et des lecteurs.