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La trilogie de Frédéric Mops Tome 3
Tohu-bohu
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- Nombre de pages351
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.46 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,6 cm
- ISBN2-260-01194-2
- EAN9782260011941
- Date de parution14/01/2000
- ÉditeurJulliard
Résumé
Exigeant, ambitieux, Richard Jorif semble être un écrivain d'un autre temps, qui construit une oeuvre pas à pas, plus soucieux de perfection que d'ajouter des titres à sa page du même auteur. Après Le Navire Argo et Le Burelain, voici, dix ans plus tard, l'ultime épisode des aventures de Frédéric Mops. Frédéric Mops croit se conformer à son destin : il navigue à bord du Navire Argo. Sous le commandement du prince Pelée, milliardaire bibliophile, il fait le tour du monde, en compagnie de six marins venus d'Espagne, du Portugal, de Bretagne, du Bourbonnais, prompts à raconter leur vie.
Tandis qu'il trace son sillage, sa petite famille, sa tante Mamitate, Julien, son fils, son amie Marie-Véronique - et le chat Littré - mènent une existence qu'ils s'ingénient, et parviennent, à faire échapper à l'ordinaire. Quelle est la raison de ce voyage au long cours ? C'est pour en connaître le fin mot que Frédéric Mops consent à suivre son " protecteur ", à charge pour lui de procurer la relation du périple, ce dont il s'acquitte avec la fantaisie et le vocabulaire qui lui sont propres.
Au bout du compte, ce troisième épisode, le plus mouvementé des aventures de Frédéric Mops, témoigne encore du dessein primordial de Richard Jorif : célébrer la langue française et " mettre en jeu la Littérature ".
Tandis qu'il trace son sillage, sa petite famille, sa tante Mamitate, Julien, son fils, son amie Marie-Véronique - et le chat Littré - mènent une existence qu'ils s'ingénient, et parviennent, à faire échapper à l'ordinaire. Quelle est la raison de ce voyage au long cours ? C'est pour en connaître le fin mot que Frédéric Mops consent à suivre son " protecteur ", à charge pour lui de procurer la relation du périple, ce dont il s'acquitte avec la fantaisie et le vocabulaire qui lui sont propres.
Au bout du compte, ce troisième épisode, le plus mouvementé des aventures de Frédéric Mops, témoigne encore du dessein primordial de Richard Jorif : célébrer la langue française et " mettre en jeu la Littérature ".
Exigeant, ambitieux, Richard Jorif semble être un écrivain d'un autre temps, qui construit une oeuvre pas à pas, plus soucieux de perfection que d'ajouter des titres à sa page du même auteur. Après Le Navire Argo et Le Burelain, voici, dix ans plus tard, l'ultime épisode des aventures de Frédéric Mops. Frédéric Mops croit se conformer à son destin : il navigue à bord du Navire Argo. Sous le commandement du prince Pelée, milliardaire bibliophile, il fait le tour du monde, en compagnie de six marins venus d'Espagne, du Portugal, de Bretagne, du Bourbonnais, prompts à raconter leur vie.
Tandis qu'il trace son sillage, sa petite famille, sa tante Mamitate, Julien, son fils, son amie Marie-Véronique - et le chat Littré - mènent une existence qu'ils s'ingénient, et parviennent, à faire échapper à l'ordinaire. Quelle est la raison de ce voyage au long cours ? C'est pour en connaître le fin mot que Frédéric Mops consent à suivre son " protecteur ", à charge pour lui de procurer la relation du périple, ce dont il s'acquitte avec la fantaisie et le vocabulaire qui lui sont propres.
Au bout du compte, ce troisième épisode, le plus mouvementé des aventures de Frédéric Mops, témoigne encore du dessein primordial de Richard Jorif : célébrer la langue française et " mettre en jeu la Littérature ".
Tandis qu'il trace son sillage, sa petite famille, sa tante Mamitate, Julien, son fils, son amie Marie-Véronique - et le chat Littré - mènent une existence qu'ils s'ingénient, et parviennent, à faire échapper à l'ordinaire. Quelle est la raison de ce voyage au long cours ? C'est pour en connaître le fin mot que Frédéric Mops consent à suivre son " protecteur ", à charge pour lui de procurer la relation du périple, ce dont il s'acquitte avec la fantaisie et le vocabulaire qui lui sont propres.
Au bout du compte, ce troisième épisode, le plus mouvementé des aventures de Frédéric Mops, témoigne encore du dessein primordial de Richard Jorif : célébrer la langue française et " mettre en jeu la Littérature ".
